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Clelie Mascaret (discussion | contributions)
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{{citation|citation=Le processus schizophrénique, selon P. Federn, s'étaye sur un trouble de la « frontière du moi » : celle-ci n'est pas à entendre dans un sens statique ni comme une ligne de partage également répartie au sein du psychisme. Lorsqu'il avance que la mutilation narcissique dans la schizophrénie est liée avant tout à la « perte d'investissement de la frontière mentale et corporelle du moi », il entend alors insister sur une perte et une mise en échec de la fonction de séparation que le moi exerce habituellement, à l'état vigile, entre la réalité extérieure et le monde psychique interne.}}
{{Réf Livre|titre=Processus de la schizophrénie|auteur=Catherine Azoulay/Catherine Chabert/Jean Gortais/Philippe Jeammet|éditeur=Dunod|collection=Psycho Sup|année=2002|année d'origine=2002|page=33|section=9. Schizophrénie et psychologie du moi|chapitre=I « Approche historique d'une psychopathologie psychanalytique de la schizophrénie (Jean Gortais) »|ISBN=2-10-004780-9}}
 
=== [[Cédric Roos]], ''La relation d'emprise dans le soin'', 2006 ===
''' La relation d'emprise (cadre psychanalytique) '''
{{citation|La conduite perverse se distingue de la conduite psychopathique par son excellente adaptation à la réalité. Le pervers est même, comme on dit souvent, « sur-adapté » aux conditions sociales.}}
{{Réf Pub|nom=La relation d'emprise dans le soin|date=2006|lieu=La relation d'emprise (cadre psychanalytique) : Du point de vue de l'instigateur d'une relation d'emprise ''Le pervers narcissique : conformer l'autre en un identique''|source=[http://www.textes-psy.com/spip.php?article1017]|parution=Textes Psy|auteur=[[Cédric Roos]]}}
 
=== François Marty, ''[[Les grands concepts de la psychologie clinique]]'', 2008 ===