« Dépression » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
Clelie Mascaret (discussion | contributions)
Clelie Mascaret (discussion | contributions)
Ligne 20 :
{{citation|Le pervers narcissique ne peut ni percevoir ni élaborer ses conflits internes. Il ne peut se défendre de ses propres pulsions de mort, pulsions destructrices, qu’en les assouvissant, c’est-à-dire en les projetant à l’extérieur, sur un autre. La perversion apparaît ainsi comme un aménagement défensif contre la psychose ou contre la dépression. Contrairement au sadique, le pervers ne jouit pas directement de la souffrance de l’autre mais de ce qu’il puise en l’autre et de sa mise en échec. Il exerce sur l’autre son emprise, projection de sa propre souffrance, de manière non consciente. Il ne ressent pas la violence infligée à l’autre, ni sa souffrance.}}
{{Réf Pub|nom=La relation d'emprise dans le soin|date=2006|lieu=La relation d'emprise (cadre psychanalytique) : Du point de vue de l'instigateur d'une relation d'emprise ''Le pervers narcissique : conformer l'autre en un identique''|source=[http://www.textes-psy.com/spip.php?article1017]|parution=Textes Psy|auteur=[[Cédric Roos]]}}
 
{{citation|Prisonnière de l’instigateur, la victime n’a d’autre choix que la révolte ou la dépression dans la soumission, sauf si, avertie du danger, elle arrive à se soustraire, non sans difficulté, à l’emprise.}}
{{Réf Pub|nom=La relation d'emprise dans le soin|date=2006|lieu=La relation d'emprise (cadre psychanalytique) : Du point de vue de la victime d'une relation d'emprise|source=[http://www.textes-psy.com/spip.php?article1017]|parution=Textes Psy|auteur=[[Cédric Roos]]}}
 
=== François Marty, ''[[Les grands concepts de la psychologie clinique]]'', 2008 ===