« Réalité » : différence entre les versions

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Clelie Mascaret (discussion | contributions)
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{{citation|citation=Selon Lippman, les individus ont des images rigides du monde environnant, des stéréotypes qui se superposeraient à la réalité et permettraient d'éviter un traitement approfondi des informations du monde environnant. Cette explication part du point de vue que les données environnementales seraient trop nombreuses et que le système cognitif aurait trouvé là un moyen de traitement économique des informations. Sans eux le monde environnant serait insensé et incompréhensible au sujet.}}
{{Réf Livre|titre=La catégorisation et les stéréotypes en psychologie sociale|auteur=[[Édith Sales-Wuillemin]]|éditeur=Dunot|collection=Psycho Sup (Psychologie sociale)|année=2006|page=6|partie=Introduction|chapitre=|section=Préjugés et stéréotypes|ISBN=2 10 049391 4}}
 
''' Stéréotypes sociaux et processus de stéréotypisation '''
{{citation|citation=Selon Lippman (1922), les stéréotypes sont des shémas de pensée qui permettent de simplifier la réalité. Ils sont indispensables au traitement des informations provenant de l'environnement ; sans eux, il y aurait une surcharge mentale : « [...] l'environnement réel est à la fois trop vaste, trop complexe [...]. Nous [en tant qu'individus] ne sommes pas équipés pour faire face à autant de subtilité et de diversité, à autant de permutations et de combinaisons. Puisque nous devons composer avec un tel environnement, il nous faut donc le réduire en un modèle plus simple avant de pouvoir le gérer. »}}
{{Réf Livre|titre=La catégorisation et les stéréotypes en psychologie sociale|auteur=[[Édith Sales-Wuillemin]]|éditeur=Dunot|collection=Psycho Sup (Psychologie sociale)|année=2006|page=71|partie=Introduction|partie=II. Stéréotypes sociaux et processus de stéréotypisation|section=|ISBN=2 10 049391 4}}
 
=== [[Cédric Roos]], ''La relation d'emprise dans le soin'', 2006 ===