« Joie » : différence entre les versions

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{{Citation|citation=Autrefois, parmi les races diverses qui peuplent au loin le monde, un destin de fer étendait sa souveraine puissance. Des liens étroits et grossiers enchaînaient leur ame, et la terre était la patrie et le séjour de leurs dieux ; sur les montagnes de l’Orient et dans le sein de la mer, habitait le soleil, lumière vivante et répandant partout la chaleur. Un vieux géant portait le monde, et les premiers enfans de la terre reposaient sous les montagnes, avec leur rage impuissante contre les nouveaux dieux et contre les hommes ; les profondeurs de la mer renfermaient une déesse, et dans les grottes de cristal, un peuple joyeux passait une vie de voluptés [...]. Le vin était meilleur, versé par les mains de la jeunesse, un dieu était dans la grappe, une déesse dans les gerbes, et la plus belle habitante de l’Olympe avait dans ses attributions les doux frémissemens de l’amour.}}
{{Réf Article|titre=Hymne à la nuit|auteur=[[Novalis]]|publication=Nouvelle revue germanique|numéro=14|date=1833|page=236}}
 
==== [[André Gide]], ''[[Les Nouvelles Nourritures]]'', 1919 ====
{{citation|citation=Chaque animal n'est qu'un paquet de joie.|précisions=Cette citation provient d'une revue dirigée par [[André Breton]].}}
{{Réf Article|titre=Les Nouvelles Nourritures|auteur=[[André Gide]]|publication=Littérature|numéro=1|date=Mars 1919|page=1}}
 
{{citation|citation=<poem>Je ne saisirai plus les mots que par les ailes. Est-ce toi, ramier de ma joie ? Ah ! vers le ciel, ne t'envole pas encore... Ici, pose. Repose-toi.</poem>|précisions=Cette citation provient d'une revue dirigée par [[André Breton]].}}
{{Réf Article|titre=Les Nouvelles Nourritures|auteur=[[André Gide]]|publication=Littérature|numéro=1|date=Mars 1919|page=3}}
 
==== [[Octavio Paz]], ''Liberté sur parole'', 1958 ====
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{{citation|citation=Pour moi, je suis persuadé qu'on applaudit les cris d'une actrice à l'Opéra comme les tours de force d'un bateleur à la foire : la sensation en est déplaisante et pénible, on souffre tandis qu'ils durent ; mais on est si aise de les voir finir sans accident qu'on en marque volontiers sa joie.}}
{{Réf Livre|titre=Julie ou La nouvelle Héloïse|auteur=[[Jean-Jacques Rousseau]]|éditeur=Garnier-Flammarion|collection=GF Flammarion|année=1967|année d'origine=1761|page=205|partie=II|section=Lettre XXIII à Madame d'Orbe|ISBN=2-08-070148-7}}
 
==== [[André Gide]], ''[[Les Nouvelles Nourritures]]'', 1919 ====
{{citation|citation=Chaque animal n'est qu'un paquet de joie.|précisions=Cette citation provient d'une revue dirigée par [[André Breton]].}}
{{Réf Article|titre=Les Nouvelles Nourritures|auteur=[[André Gide]]|publication=Littérature|numéro=1|date=Mars 1919|page=1}}
 
{{citation|citation=<poem>Je ne saisirai plus les mots que par les ailes. Est-ce toi, ramier de ma joie ? Ah ! vers le ciel, ne t'envole pas encore... Ici, pose. Repose-toi.</poem>|précisions=Cette citation provient d'une revue dirigée par [[André Breton]].}}
{{Réf Article|titre=Les Nouvelles Nourritures|auteur=[[André Gide]]|publication=Littérature|numéro=1|date=Mars 1919|page=3}}
 
==== [[James Joyce]], ''Ulysse'', 1922 ====
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