« Jeunesse » : différence entre les versions

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Clelie Mascaret (discussion | contributions)
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{{Citation|citation=Il est un jeune chat, gracieux à toute heure. La boule de papier l’intéresse, l’odeur de la viande le change en dragon rugissant et minuscule, les passereaux volent trop vite pour qu’il puisse les suivre de l’œil, mais il devient cataleptique, derrière la vitre, quand ils picorent sur la fenêtre. Il fait beaucoup de bruit en tétant, parce que ses dents poussent… C’est un petit chat, innocent au milieu d’un drame.}}
{{Réf Livre|titre=La Maison de Claudine|auteur=[[Colette]]|éditeur=Imprimerie Moderne de Nantes|collection=Super-Bibliothèque|année=1976|année d'origine=1922|page=216|section=Les Deux Chattes|ISBN=2-261-00093-6}}
 
==== [[André Pieyre de Mandiargues]], ''La Marge'', 1967 ====
{{Citation|citation=Trois jeunes gens, comme en confirmation du propos, qui viennent en se tenant par le bras, le forcent à s'abriter dans une entrée de boutique où dans les vitrines illuminées brillent des mantilles de satin, et un bossu vêtu de noir s'apprête à lui ouvrir la porte. Étonné que les magasins soient si tard ouverts à Barcelone, il est huit heures et demie, Sigismond, par politesse, fait à l'homme un signe de la main et regagne le trottoir, qui à la vérité n'est pas large pour l'affluence quand tant de voitures courent sur la chaussée. Mais dans les maisons une trouée se présente, qui est celle de la calle de San Ramon, à droite. Là, tout le milieu de la rue est rempli de gens, qui sont assemblés autant qu'ils vont ou viennent. A ceux-là Sigismond se mêle.}}
{{Réf Livre|titre=La Marge|auteur=[[André Pieyre de Mandiargues]]|éditeur=Gallimard|collection=Folio|année=1967|page=60|chapitre=II|ISBN=2-07-037294-4}}
 
== Le propre de la jeunesse ==