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Ceux qui l'ont goûté une fois n'oublient pas cette nourriture.}}
{{Réf Livre|référence=Terre des hommes/Le Livre de Poche|page=199}}
==== [[Leonardo Sciascia]], ''Le Jour de la chouette'', 1961 ====
{{citation|citation=Les huissiers de la Chambre les toisèrent avec méfiance, se passèrent l'un à l'autre leurs billets d'entrée, leur demandèrent leurs cartes d'identité et les invitèrent à ôter leurs pardessus. Enfin on finit par les accompagner à une loge qui ressemblait tout à fait à une loge de théâtre ; ils se trouvaient comme au bord d'un énorme entonnoir ; au-dessous d'eux, une sombre fourmilière liquide. La lumière était celle qui, dans leur pays, annonce certains orages, lorsque les nuages, poussés par le vent du Sahara, se groupent et semblent lentement bouillir, ne laissant filtrer qu'une lumière faite de sable et d'eau : curieuse lumière qui donne aux objets une surface satinée.}}
{{Réf Livre|titre=Le Jour de la chouette|auteur=[[Leonardo Sciascia]]|éditeur=Flammarion|collection=GF|année=1986|page=161|traducteur=Juliette Bertrand|ISBN=978-2-0807-0461-0}}
==== [[André Pieyre de Mandiargues]], ''La Marge'', 1967 ====
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