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Clelie Mascaret (discussion | contributions)
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Je remontai bien vite et m'endormis, persuadé que j'étais l'homme de France le plus ingénieux en expédients.</poem>}}
{{Réf Livre|titre=Le Capitaine Pamphile|auteur=[[Alexandre Dumas]]|éditeur=Gallimard|collection=Folio classique|année=2003|année d'origine=1839|page=44|section=I. ''Introduction à l'aide de laquelle le lecteur fera connaissance avec les principaux personnages de cette histoire et l'auteur qui l'a écrite''|ISBN=978-2-07-042652-2}}
 
==== [[Gabriele D'Annunzio]], ''Le Feu'', 1900 ====
{{Citation|citation=[...] dans le silence favorable, s’éleva un prélude de violons. Les violes et les violoncelles unirent à cette plainte suppliante un plus profond soupir. N’était-ce pas, après la flûte et le crotale, après les instruments orgiaques dont les sons troublent la raison et provoquent le délire, n’était-ce pas l’auguste lyre dorienne, grave et suave, harmonieux support du chant ? Ainsi du bruyant Dithyrambe était né le Drame. La grande métamorphose du rite dionysiaque, la frénésie de la fête sacrée devenant la créatrice inspiration du poète tragique, était figurée dans cette alternance musicale. L’ardent souffle du dieu thrace avait donné la vie à une forme sublime de l’Art. La couronne et le trépied, prix décernés à la victoire du poète, avaient remplacé le bouc lascif et la corbeille de figues attiques. Eschyle, gardien d’une vigne, avait été visité par le dieu, qui lui avait infusé son esprit de flamme.}}
{{Réf Livre|titre=Le Feu|auteur=[[Gabriele D'Annunzio]]|éditeur=La Revue de Paris|Traducteur=Georges Hérelle|année=1900|page=56|chapitre=I. L'épiphanie du feu}}
 
==== [[Anne F. Garréta]], ''La Décomposition'', 1999 ====