« Souffrance » : différence entre les versions

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Clelie Mascaret (discussion | contributions)
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{{citation|citation=La métaphore de l'huître perlière illustre bien comment, parfois, c'est à partir d'une expérience souffrante que l'on peut actualiser des forces demeurées jusqu'alors latentes et inconnues. La résilience apparaît ainsi comme résultant d'un processus paradoxal dans lequel la confrontation au traumatisme et la blessure viennent étayer la créativité.}}
{{Réf Livre|titre=La Résilience — Surmonter les traumatismes|auteur=[[Marie Anaut]]|éditeur=Armand Colin|collection=128|année=2008|page=54|section=6.2 L'oxymoron du « merveilleux malheur » ([[Boris Cyrulnik|Cyrulnik]])|chapitre=6. Métaphores et illustrations de la résilience|partie=2. A la rencontre de la résilience|ISBN=978-2-200-35348-3}}
 
=== [[Gérard Pirlot]]/[[Jean-Louis Pedinielli]], ''Les Perversions sexuelles et narcissiques'', 2005 ===
''' Introduction '''
{{Citation|citation=Pour le psychopathologue, le terme « perversion » recouvre à la fois un type d'acte, une conduite sexuelle (perversion sexuelle), un caractère pathologique, un mode de relation à l'autre teinté de manipulation. Par extension, le terme « perversion » peut concerner aussi des sujets qui n'ont pas de comportements sexuels inhabituels, mais un mode de jouissance reposant sur la souffrance, l'humiliation, l'instrumentation de l'autre : registre de la perversion « morale » ou « narcissique » qui procéderait d'un ''noyau commun'' à toutes les perversions. Ce sont alors la domination et la disqualification du moi d'autrui qui sont cherchées.}}
{{Réf Livre|titre=Les Perversions sexuelles et narcissiques|auteur=[[Gérard Pirlot]]/[[Jean-Louis Pedinielli]]|éditeur=Armand Colin|collection=128 Psychologie|année=2005|page=7|section=Introduction|ISBN=2-200-34042-7}}
 
=== [[Cédric Roos]], ''La relation d'emprise dans le soin'', 2006 ===