« Marquis de Sade » : différence entre les versions

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{{citation|citation=Quelque chose commence et finit dans le château de Sade. Ce qui finit, c'est l'assujettissement de l'objet à l'idée, mais en même temps l'asservissement de l'imaginaire à l'ordre du monde. Ce qui commence, c'est une suspicion infinie des apparences et à travers le plus dangereux jeu de miroirs la rencontre de la couleur noire.}}
{{Réf Livre|titre=Les châteaux de la subversion|auteur=[[Annie Le Brun]]|éditeur=Garnier Frères|collection=Folio Essais|année=1982|année d'origine=|page=80|partie=I|section=Un rêve de pierre|ISBN=2-07-032341-2}}
 
{{Citation|citation=Même si [[Jacques Lacan|Lacan]] n'a pas consacré de séminaire ou de texte à la « structure perverse », son oeuvre a représenté une des sources de cette formule. Par « structure perverse », il faut concevoir un type de discours totalement distinct de celui de la névrose (hystérie ou obsessionnelle) et celui de la psychose (délirante principalement). Cette structure est intelligible à partir de l'Oedipe, pivot de la conception lacanienne du Sujet. La structure perverse est caractérisée par l'affirmation et la démonstration (''cf''. notamment les textes de [[Marquis de Sade|Sade]]) par le sujet, que seule la loi impérative de son désir propre importe et qu'elle prime sur la loi du désir de l'autre.}}
{{Réf Livre|titre=Les Perversions sexuelles et narcissiques|auteur=[[Gérard Pirlot]]/[[Jean-Louis Pedinielli]]|éditeur=Armand Colin|collection=128 Psychologie|année=2005|page=49|partie=II. Caractéristiques des perversions|chapitre=2. Critères psychopathologiques|section=2.2 Les conceptions post-freudiennes b) Structure perverse ?|ISBN=2-200-34042-7}}
 
== Articles connexes ==