« Comte de Lautréamont » : différence entre les versions
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'''[[w:Comte de Lautréamont|Isidore Lucien Ducasse]]''' ({{date|4|avril|1846}}, Montevideo, Uruguay – {{date|24|novembre|1870}}, [[Paris]]), plus connu par son pseudonyme de '''Comte de Lautréamont''' (qu'il emprunta très probablement au Latréaumont
== Citations propres à l'auteur ==
=== ''[[w:Les Chants de Maldoror|Les Chants de Maldoror]]'', 1869 === {{citation|J'établirai dans quelques lignes comment Maldoror fut bon pendant ses premières années, où il vécut heureux ; c'est fait.}}
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|s=Les Chants de Maldoror}}
=== ''Poésies I'', 1870 ===
{{citation|Toute l'eau de la mer ne suffirait pas à laver une tache de sang intellectuelle.}}
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|s=Poésies (Lautréamont)}}
=== ''Poésies II'', 1870 ===
{{citation|Le sommeil est une récompense pour les uns, un supplice pour les autres. Pour tous, il est une sanction.}}
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== D'autres auteurs le concernant ==
==== [[André Breton]], ''[[w:L'Amour fou|L'Amour fou]]'', [[w:1937 en littérature|1937]] ====
{{citation|Les « beau comme » de [[Comte de Lautréamont|Lautréamont]] constituent le manifeste même de la poésie convulsive. Les grand yeux clairs, aube ou aubier, crosse de fougère, rhum ou colchique, les plus beaux yeux de musées et de la vie à leur approche comme les fleurs éclatent s'ouvrent pour ne plus voir, sur toutes les branches de l'air. Ces yeux, qui n'expriment plus que sans nuance l'extase, la fureur, l'effroi, ce sont les yeux d'Isis (« Et l'ardeur d'autrefois... »), les yeux des femmes données aux lions, les yeux de Justine et de Juliette, ceux de Matilde de Lewis, ceux de plusieurs visages de Gustave Moreau, de certaines des têtes de cire les plus modernes.}}
{{Réf Livre|page=14|référence=L'Amour fou/Gallimard-Folio}}
{{interprojet|s=Auteur:Comte de Lautréamont|w=Comte de Lautréamont}}
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