« Éclair » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
Clelie Mascaret (discussion | contributions)
Clelie Mascaret (discussion | contributions)
Ligne 74 :
{{citation|Le pic du Teide à Tenerife est fait des éclairs du petit poignard de plaisir que les jolies femmes de Tolède gardent jour et nuit contre leur sein.}}
{{Réf Livre|page=98|référence=L'Amour fou/Gallimard-Folio}}
 
{{citation|C'est tout au fond du jour ou de la nuit, n'importe, quelque chose comme l'immense vestibule de l'amour physique tel qu'on souhaiterait le faire sans s'y reprendre jamais. Les rideaux tirés, les barreaux tordus, les yeux caressants de félins ponctuant seuls d'éclairs le ciel. Le délire de la présence absolue. Comment ne pas se surprendre à vouloir aimer ainsi, au sein de la nature réconciliée ? Elles sont pourtant là les interdictions, les sonneries d'alarme, elles sont toutes prêtes à entrer en branle, les cloches de neige du ''datura'' au cas où nous nous aviserions de mettre cette barrière infranchissable entre les autres et nous.}}{{Réf Livre|page=110|référence=L'Amour fou/Gallimard-Folio}}
 
==== [[Henri Thomas]], ''Le Goût de l’éternel'', 1990 ====