« Tristan Tzara » : différence entre les versions

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{{citation|citation=Pour ce poète la vie est un jeu tournant et sérieux de farces, de tristesse, de bonhomie, de naïveté, de modernisme tour à tour. Le doigt visse dans tous les chairs jusqu'à l'intérieur qui crie et vibre, où il devient fleur et rit. L'imprévu est l'étoile explosive de partout et la vitesse se marie au conteur tranquille curieux en affirmation naturelle et constante nouveauté. Ce choc enfanta le burlesque. Le passé mis dans une glace reflétante et jetée quelques siècles en avant. Avec la sûreté du cow-boy. La tournure élégante et grotesque. Impulsive capricieuse fine. Au galop au dessus de la vie ; l'homme est ridicule.}}
{{Réf Article|titre=Notes sur [[Guillaume Apollinaire]]|auteur=Tristan Tzara|publication=Dada|numéro=2|date=Décembre 1917|page=17}}
 
=== ''Pierre Reverdy : Le Voleur de Talan'', 1917 ===
{{citation|citation=La Renaissance fut l'âge infernal du cynique ; elle fut pour l'art un bordel ; l'anecdote et le charme partagèrent son domaine. L'illusion devint le but, et l'homme voulait surpasser Dieu. Mais les problèmes et la vie mouvementée l'ont fait intéressante et malheureusement, productive.|précisions=Tristan Tzara commente ici le dernier roman de Reverdy.}}
{{Réf Article|titre=Pierre Reverdy : Le Voleur de Talan|auteur=Tristan Tzara|publication=Dada|numéro=2|date=Décembre 1917|page=17}}
 
=== ''Haute couture monsieur Aa l'antiphilosophe'', 1920 ===