« Jean-Jacques Rousseau » : différence entre les versions

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La fée Didier (discussion | contributions)
La fée Didier (discussion | contributions)
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{{Citation|citation=Faites-lui bien comprendre que le sort de ces malheureux peut être le sien, que tous leurs maux sont sous ses pieds, que mille évènementsévénements imprévus et inévitables peuvent l’y plonger d’un moment à l’autre. Apprenez-lui à ne compter ni sur la naissance, ni sur la santé, ni sur les richesses ; montrez-lui toutes les vicissitudes de la fortune ; cherchez lui les exemples toujours trop fréquents de gens qui, d’un état plus élevé que le sien, sont tombés au-dessous de celui de ces malheureux.}}
{{Réf Livre
|titre=Émile ou de l’éducation
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|éditeur=Garnier-Flammarion
|année=1966
|page=281291
}}
 
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|année=1966
|page=308
}}
 
{{Citation|citation=Avertissez-le de ses fautes avant qu’il y tombe : quand il y est tombé, ne les lui reprochez point ; vous ne feriez qu’enflammer et mutiner son amour-propre. Une leçon qui révolte ne profite pas. Je ne connais rien de plus inepte que ce mot : Je vous l’avais bien dit.}}
{{Réf Livre
|titre=Émile ou de l’éducation
|auteur=Jean-Jacques Rousseau
|année d'origine=1762
|éditeur=Garnier-Flammarion
|année=1966
|page=322
}}