« Jacques Attali » : différence entre les versions

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|partie=Troisième vague de l'avenir : l'Hyperdémocratie}}
 
== Divers ==
{{citation
|citation =<poem>
{{personnage|Arnaud Robert}} : Vous décrivez le chef d'orchestre comme "visible et silencieux, donneur d'ordres sans bruit, maître désarmé de la violence. Vous dirigez vous-même régulièrement.
{{personnage|Jacques Attali}} : J'aime celà profondément. Il y a trois dimensions dans la direction. D'abord l'étude austère de la partition qui se fait dans la solitude. Puis les répétitions avec l'orchestre, l'ouverture d'un dialogue qui nécessite clarté et empathie. Enfin la représentation. Le chef fait des gestes pour ceux qui sont en face de lui, pas pour ceux qui sont dans son dos. Un seul regard, une fraction de seconde suffisent. Il faut être ouvert à cette masse qui vous fait face. Je dirige donc sans partition.
</poem>}}
{{Réf Article
|titre="Stocker de la musique, c'est conjurer la mort"
|auteur=Jacques Attali, propos recueillis par Arnaud Robert
|publication={{w|Le Temps}}
|numéro=
|date=4 février 2012
|page=29
|ISSN=1423-3967
}}