« Blaise Pascal » : différence entre les versions

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|section=fragment 647
|s=Pensées}}
 
{{citation|L'homme est si grand, que sa grandeur paraît même en ce qu'il se connaît misérable.}}
{{réf Livre
|titre=Pensées
|auteur=Blaise Pascal
|éditeur=Édition de Port-Royal
|année=1670
|page=177
|s=Grandeur de l’homme.
}}
 
{{citation|L'homme n'est qu'un roseau le plus faible de la nature ; mais c'est un roseau pensant}}
{{réf Livre
|titre=Pensées
|auteur=Blaise Pascal
|éditeur=Édition de Port-Royal
|année=1670
|page=179
|s=Grandeur de l’homme.
}}
 
 
{{citation|Ce sont deux excès également dangereux, d'exclure la raison, de n'admettre que la raison}}
{{réf Livre
|titre=Pensées
|auteur=Blaise Pascal
|éditeur=Édition de Port-Royal
|année=1670
|page=49
|s=Pensées.
}}
 
{{citation|Ne pouvant fortifier la justice, on a justifié la force.}}
{{réf Livre
|titre=Pensées
|auteur=Blaise Pascal
|éditeur=Gallimard (édition de Michel Le Guern)
|collection=Folio classique
|année=1977
|page=
|s=Revue des Deux Mondes
}}
 
{{citation|Le silence éternel de ces espaces infinis m'effraie.}}
{{réf Livre
|titre=Pensées
|auteur=Blaise Pascal
|éditeur=Gallimard
|collection=Le Livre de Poche
|année=1969
|page=58-60
|s=L’homme dans la nature
}}
 
{{citation|Condition de l'homme : inconstance, ennui, inquiétude}}
{{réf Livre
|titre=Pensées
|auteur=Blaise Pascal
|éditeur=Seuil
|collection=
|année=1963
|page=503
|s=Revue des Deux Mondes
}}
 
== ''[[w:Les Provinciales|Les Provinciales]]'' ==
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|page=227
|section=Lettre XII
}}
 
{{citation|Je n'ai fait celle-ci plus longue que parce que je n'ai pas eu le loisir de la faire plus courte.}}
 
{{réf Livre
|titre=Les Provinciales
|auteur=[[:w:Blaise Pascal|Blaise Pascal]]
|éditeur=Monmerqué
|année d'origine=1862
|année=1656
|page=191
|section=Seizième lettre aux révérends pères jésuites
}}