« France Gall » : différence entre les versions

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{{Citation|Elle durera parce qu'elle n'est pas grande. Les petits compensent par un travail fou.}}
{{Réf Pub|nom=[[w:Charles Aznavour|Charles Aznavour]]
|date=1984
|source={{w|France Soir}}
|auteur=Citation incluse par {{w|Jacqueline Cartier}} dans son article ''France Gall bien loin de la Poupée de son… métamorphosée, elle « débranche » maintenant par la tendresse...}}
 
{{Citation|Je connais France Gall, surnommée Babou, depuis 1965, mais nous ne sommes vraiment proches que depuis les années 70. Nous avons fait des voyages à Londres pour meubler la maison de campagne de [[w:Julien Clerc|Julien Clerc]], avec qui elle vivait, et a ensuite habité chez moi, avant d'emménager avec [[w:Michel Berger|Michel Berger]]. Je les aime beaucoup tous les deux. France est l'une des personnes que je connais qui sait le mieux recevoir. D'abord, c'est une cuisinère hors pair. Et surtout, elle peut organiser des dîners avec des gens qui ne devraient jamais s'entendre, mais elle a toujours le chic pour désamorcer les tensions. Avec elle, tout finit toujours en éclats de rire. Le rire est d'ailleurs la pierre angulaire de notre relation. Nous passons des heures à nous marrer. Quand je joue au théâtre, France et Michel viennent me voir, et chaque fois, je sais qu'elle est dans la salle rien qu'en entendant son rire.}}
{{Réf Pub|nom={{w|Zouzou}}
|date=2003
|source=Jusqu’àJusqu'à l’aubel'aube, éditions Flammarion, Collection Pop Culture, Paris, {{ISBN|2080685554}}}}
 
{{Citation|Les lieux communs, je déteste. Ils se vérifient rarement. […] Ainsi ce bruit qui court qu'il vaut mieux ne pas mêler le travail et l'amour. Ceux et celles qui parviennent à concilier les deux, désolé, sont plus heureux que les autres ! […] Pour preuve, aujourd'hui je pense : [[w:Michel Berger|Michel Berger]] et France Gall.<br />France Gall avait la tête sur l'épaule de Michel Berger. Il était tard, nous avions fait une bonne émission. France avait chanté a cappella du [[Jean-Sébastien Bach]] : un grand moment ! Michel avait improvisé au piano et chanté lui-même : ''À moitié, à demi, pas du tout'', une chanson qu'on aimait beaucoup à l'époque. Et nous parlions de la vie, du métier, du temps qui passe, de l'amour. Nous avions les mêmes passions et elles faisaient partie de notre existence. C'était sans doute un moment de bonheur partagé ! Cette tendresse de couple. […] Admiration non feinte de la femme pour l'homme-créateur et l'amour de l'homme pour la femme-artiste. Ils se connaissaient si bien dans leurs qualités comme dans leurs défauts. […] France secouait sa tête blonde et lançait :<br />— À la maison, je ne lui obéis que lorsqu'il est au piano !<br />Et tout se passait alors dans leur regard amoureux...}}
{{Réf Pub|nom=[[{{w|Jacques Mercier]]}}
|date=1988
|source=Totalement confidentiel, éditions des Archers/RTBF Éditions, [[Bruxelles]].}}
 
{{Citation|Elle est une énigme, par sa transparence même, elle échappe à toute classification dans sa simplicité ; elle est une force par sa fragilité ; elle est à l'écoute dans sa solitude. Elle est la France, bien au-delà de son nom.}}