« Jean-Jacques Rousseau » : différence entre les versions

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{{Citation|citation=La différence est que le bon s’ordonne par rapport au tout, et que le méchant ordonne le tout par rapport à lui. Celui-ci se fait le centre de toutes choses ; l’autre mesure son rayon et se tient à la circonférence.}}
{{Réf Livre
|titre de la contribution=Émile, ou De l'éducation
|année de la contribution=1854
|référence=Œuvres complètes de Jean-Jacques Rousseau/Houssiaux
|page=585
|tome=2
|partie=IV
|cacher auteur|cacher année|cacher éditeur}}
 
{{Citation|citation=Ne m’a-t-il pas donné la conscience pour aimer le bien, la raison pour le connaître, la liberté pour le choisir ? Si je fais le mal, je n’ai point d’excuse ; je le fais parce que je le veux : lui demander de changer ma volonté, c’est lui demander ce qu’il me demande ; c’est vouloir qu’il fasse mon œuvre et que j’en recueille le salaire ; n’être pas content de mon état, c’est ne vouloir plus être homme, c’est vouloir autre chose que ce qui est, c’est vouloir le désordre et le mal.}}
{{Réf Livre
|titre de la contribution=Émile, ou De l'éducation
|année de la contribution=1854
|référence=Œuvres complètes de Jean-Jacques Rousseau/Houssiaux
|page=586
|tome=2
|partie=IV
|cacher auteur|cacher année|cacher éditeur}}
 
{{Citation|citation=Les lois, toujours si occupées des biens et si peu des personnes, parce qu’elles ont pour objet la paix et non la vertu, ne donnent pas assez d’autorité aux mères.}}