« Gaston Leroux » : différence entre les versions

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{{Réf Livre|section=Préface de [[Jean Cocteau]]|titre=[[w:Le Mystère de la chambre jaune (roman)|Le Mystère de la chambre jaune]]|auteur=[[Gaston Leroux]]|éditeur=Le Livre de Poche|année=[[w:1995|1995]]|page=5 lignes 5-12|ISBN=2-253-00549-5}}
 
Les coïncidences [...] sont les pires ennemies de la vérité.
 
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Le presbytère n’a rien perdu de son charme, ni le jardin de son éclat.
 
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Tout ce que vous offrent les sens ne saurait être une preuve..., moi aussi je me suis penché sur "les traces sensibles" mais pour leur demander uniquement d'entrer dans le cercle qu'avait dessiné ma raison. Ah ! bien des fois, le cercle fut si étroit, si étroit... Mais si étroit était-il, il était immense "puisqu'il ne contenait que la vérité" !... Oui, oui, je le jure, les traces sensibles n'ont jamais été que mes servantes... Elles n'ont point été mes maîtresses... Elles n'ont point fait de moi cette chose monstrueuse, plus terrible qu'un homme sans yeux, un homme qui voit mal ! Et voilà pourquoi je triompherai de ton erreur et de ta cogitation animale, ô Frédéric Larsan !