« Octave Gréard » : différence entre les versions
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{{Réf Livre|titre=L'éducation des femmes par les femmes|auteur=Octave Gréard|éditeur=Hachette et cie|année=1889|année d'origine=1885|page=XIX|section=Préface}}
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{{Citation|citation=Elle ne pouvait souffrir les gens qui disent : je suis trop vieux. La vieillesse lui paraissait particulièrement favorable pour y regarder de près, ne s’excuser de rien, se soutenir, se fortifier, s’épurer. Et c’est dans ce sentiment qu’elle arrivait à écrire, à cinquante-trois ans, ce mot d’une raison si haute et d’une grâce féminine si pénétrante, qui, sur un point fondamental, résume les doctrines exposées dans ce volume : « Je dis toujours que si je pouvais vivre deux cents ans, je deviendrais la plus admirable personne du monde. »|précisions=Il est ici question de [[Marie de Sévigné|Madame de Sévigné]].}}
{{Réf Livre|titre=L'éducation des femmes par les femmes|auteur=Octave Gréard|éditeur=Hachette et cie|année=1889|année d'origine=1885|page=XXI|section=Préface}}
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