« Octave Gréard » : différence entre les versions

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{{Réf Livre|titre=L'éducation des femmes par les femmes|auteur=Octave Gréard|éditeur=Hachette et cie|année=1889|année d'origine=1885|page=XIX|section=Préface}}
 
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{{Citation|citation=Appartenant à la première moitié du dix-septième siècle, elle en aimait la sève riche et puissante, le ferme esprit d’analyse et de retour sur soi. Tous les jours « elle travaillait à son esprit, à son âme, à son cœur. » Ce qu’elle adorait dans les livres de Nicole, c’est qu’il lui semblait qu’ils étaient faits à son intention : elle s’y trouvait toujours et partout ; ils lui fournissaient des soulagements, des consolations, des remèdes contre ses défauts, ses passions, contre les faiblesses humaines qui ne la quittaient point même « au milieu des grandes moralités du carême, » contre ses moindres ennuis, voire contre la pluie. On sait « les bouillons » qu’elle en tirait.|précisions=Il est ici question de [[Marie de Sévigné|Madame de Sévigné]].}}
{{Réf Livre|titre=L'éducation des femmes par les femmes|auteur=Octave Gréard|éditeur=Hachette et cie|année=1889|année d'origine=1885|page=XIX|section=Préface}}
 
{{Citation|citation=Elle sait que les femmes « ayant la permission d’être faibles, se servent sans scrupule de leur privilège » ; mais elle considère qu’après tout les hommes ne sont pas moins exposés pas leurs passions, et trouve même que leur vertu « est bien plus délicate encore et plus blonde que celle des femmes. » Elle a confiance, pour son sexe, dans la force de l’éducation. C’est à cette discipline qu’en revenaient volontiers les femmes de son temps, alors qu’après l’éclat d’une vie dissipée, elles entrevoyaient les ombres de la mort.|précisions=Il est ici question de [[Marie de Sévigné|Madame de Sévigné]].}}
{{Réf Livre|titre=L'éducation des femmes par les femmes|auteur=Octave Gréard|éditeur=Hachette et cie|année=1889|année d'origine=1885|page=XX|section=Préface}}
 
{{Citation|citation=Elle ne pouvait souffrir les gens qui disent : je suis trop vieux. La vieillesse lui paraissait particulièrement favorable pour y regarder de près, ne s’excuser de rien, se soutenir, se fortifier, s’épurer. Et c’est dans ce sentiment qu’elle arrivait à écrire, à cinquante-trois ans, ce mot d’une raison si haute et d’une grâce féminine si pénétrante, qui, sur un point fondamental, résume les doctrines exposées dans ce volume : « Je dis toujours que si je pouvais vivre deux cents ans, je deviendrais la plus admirable personne du monde. »|précisions=Il est ici question de [[Marie de Sévigné|Madame de Sévigné]].}}
{{Réf Livre|titre=L'éducation des femmes par les femmes|auteur=Octave Gréard|éditeur=Hachette et cie|année=1889|année d'origine=1885|page=XXI|section=Préface}}