« Jean Jaurès » : différence entre les versions

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|auteur=Henri Guillemin
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{{citation|La liberté, c'est l'enfant de la classe ouvrière, née sur un grabat de misère, et de mine chétive encore, mais qui porte en soi une incomparable vitalité secrète et dont le regard de flamme appelle la liberté d'un monde nouveau.}}
{{réf Discours|nom=Jean Jaurès|date=4 décembre 1905|lieu=à Paris, Chambre des députés|source= http://www.assemblee-nationale.fr/histoire/7eh.asp}}
 
{{citation|Oui, nous avons, nous aussi, le culte du passé. Ce n'est pas en vain que tous les foyers des générations humaines ont flambé, ont rayonné ; mais c'est nous, parce que nous marchons, parce que nous luttons pour un idéal nouveau, c'est nous qui sommes les vrais héritiers du foyer des aïeux ; nous en avons pris la flamme, vous n'en avez gardé que la cendre.}}
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{{citation|Nous n'avons pas de la tolérance, mais nous avons, à l'égart de toutes les doctrines, le respect de la personnalité humaine et de l'esprit qui s'y développe.}}
{{réf Discours|nom=Jean Jaurès|date=janvier 1910|lieu=à Paris, Chambre des députés|source=Pages choisies, éd. Rieder|parution=en 1922, p. 127}}
 
{{citation|La liberté, c'est l'enfant de la classe ouvrière, née sur un grabat de misère, et de mine chétive encore, mais qui porte en soi une incomparable vitalité secrète et dont le regard de flamme appelle la liberté d'un monde nouveau.}}
{{réf Discours|nom=Jean Jaurès|date=4 décembre 1905|lieu=à Paris, Chambre des députés|source= http://www.assemblee-nationale.fr/histoire/7eh.asp}}
 
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