« Fernando Pessoa » : différence entre les versions
Contenu supprimé Contenu ajouté
mef |
→Citations : -scorie |
||
Ligne 22 :
*{{Citation|Il n'est pas suffisant de ne pas être aveugle pour voir les arbres et les fleurs. Il faut aussi n'avoir aucune philosophie. Quand il y a philosophie, il n'y a pas d'arbres: il y a des idées, sans plus<ref>Trad. F. Laye, En bref, p. 25, Christian Bourgois, Paris, 2004.</ref>.|<small>''En bref.''</small>}}
*{{Citation|Ce qui aurait pu être, ce qui aurait dû exister, ce que la loi ou le Destin n'ont pas donné, je l'ai jeté à pleines mains dans l'âme de l'Homme et elle s'est troublée de sentir la vie vivante de ce qui n'existe pas
*{{Citation|Oh, quelle horreur, quelle horreur intime dénoue la voix de notre âme et les sensations de nos pensées et nous fait parler et sentir et penser quand tout en nous demande le silence et le jour et l’inconscience de la vie<ref>Trad. B. Sesé, Le Marin, p. 63, José Corti, Paris, 1988, ISBN 2-7143-0242-4</ref>...|<small>''Le Marin.''</small>}}
Ligne 32 :
*{{Citation|La science consiste à vouloir adapter un rêve plus petit à un rêve plus grand.|<small>''En bref.''</small>}}
*{{Citation|Définir la beauté, c'est ne pas la comprendre
*{{Citation|C’est ailleurs seulement que la mer est belle. Celle que nous voyons nous donne toujours la nostalgie de celle que nous ne verrons jamais<ref>Trad. B. Sesé, Le Marin, José Corti, Paris, 1988, ISBN 2-7143-0242-4</ref>...|<small>''Le Marin.''</small>}}
|