« Pascal Décaillet » : différence entre les versions

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{{citation
|citation=En 1848, il fallait la diligence pour aller jusqu'à Berne. Personne ne connaissait les figures politiques, encore moins celles des autres cantons! Alors, on fait confiance au Parlement. (...) Mais aujourd'hui, tout a changé. La Suisse affronte une tempête qui ne fait que commencer. Elle a besoin, à la barre, tous partis confondus, des personnalités les plus fortes. Elire une souris grise, c'est causer un tort pronfond à notre pays. Et justement, le système électoral qui consiste à se frotter à quatre millions d'électeurs potentiels plutôt qu'à 246, aller sur le terrain, parler dans d'autres langues, faire au fond 26 campagnes, permettra aux caractères trempés d'émerger. Il y a, dans une campagne au suffrage universel, un rite initiatique autrement plus sélectif que dans les seuls effets de cour des Pas perdus parlementaires.
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{{Réf Article
|titre=Faisons confiance au peuple suisse
|auteur=Pascal Décaillet
|publication={{w|Migros Magazine}}
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|date=8-9 mai 2013
|page=11
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{{citation
|citation=Celui qui est muni de la légitimité du suffrage universel pensera davantage au pays tout entier, alors qu'hélas, aujourd'hui, d'aucuns ne semblent avoir pour horizon d'attente que le microscosme de la Coupole fédérale. (...) Mais enfin, aujourd'hui, les cantons, même bilingues (...), même multilingues (...) élisent directement leurs exécutifs, et ont inventé des systèmes d'équilibre interne.
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