« Louis Antoine de Saint-Just » : différence entre les versions

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{{citation|On dira que la révolution est finie, qu'on n'a plus rien à craindre du tyran, qu'une loi punit de motmort l'usurpateur ; mais, citoyens, la tyrannie est un roseau que le vent fait plier et qui se relève. Qu'appelez-vous donc la révolution, la chute du trône, les coups portés à divers abus ? L'ordre moral est comme l'ordre physique : les abus disparaissent un moment, comme l'humidité de la terre s'évapore ; les abus renaissent bientôt, comme l'humidité retombe des nuages. La révolution commence quand le tyran finit.}}
{{Réf Livre|titre=Œuvres complètes
|auteur=Saint-Just