« Maurice Merleau-Ponty » : différence entre les versions
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'''[[w:Maurice Merleau-Ponty|Maurice Merleau-Ponty]]''', né en 1908 et mort en 1961, philosophe français, fut professeur à la Sorbonne puis au Collège de France. Ses travaux s’inscrivent dans le courant du mouvement phénoménologique.
== ''Phénoménologie de la perception'', 1945 ==
{{citation
|citation=La perception n'est pas une science du monde, ce n'est pas même un acte, une prise de position délibérée, elle est le fond sur lequel tous les actes se détachent et elle est présupposée par eux.
}}
{{Réf Livre|titre=Phénoménologie de la perception
|auteur=Maurice Merleau-Ponty
|éditeur=Gallimard
|collection=Tel
|année=1945
|ISBN=
|année d'origine=1945
|section=Avant-propos
|page=V}}
{{citation
|citation=La réflexion ne se retire pas du monde vers l'unité de la conscience comme fondement du monde, elle prend recul pour voir jaillir les transcendances, elle distend les fils intentionnels qui nous relient au monde pour les faire paraître, elle seule est conscience du monde parce qu'elle le révèle comme étrange et paradoxal.
|précisions= À propos de ce qui caractérise la démarche de réflexion phénoménologique de Husserl par rapport à l'idéalisme de Descartes ou de Kant.
}}
{{Réf Livre|titre=Phénoménologie de la perception
|auteur=Maurice Merleau-Ponty
|éditeur=Gallimard
|collection=Tel
|année=1945
|ISBN=
|année d'origine=1945
|section=Avant-propos
|page=VIII}}
{{citation
|citation=Chercher l'essence du monde, ce n'est pas chercher ce qu'il est en idée, une fois que nous l'avons réduit en thème de discours, c'est chercher ce qu'il est en fait pour nous avant toute thématisation.
|précisions= À propos de la démarche phénoménologique de la réduction eidétique.
}}
{{Réf Livre|titre=Phénoménologie de la perception
|auteur=Maurice Merleau-Ponty
|éditeur=Gallimard
|collection=Tel
|année=1945
|ISBN=
|année d'origine=1945
|section=Avant-propos
|page=X}}
{{citation
|citation=La vraie philosophie est de rapprendre à voir le monde, et en ce sens une histoire racontée peut signifier le monde avec autant de « profondeur » qu'un traité de philosophie.
|précisions=
}}
{{Réf Livre|titre=Phénoménologie de la perception
|auteur=Maurice Merleau-Ponty
|éditeur=Gallimard
|collection=Tel
|année=1945
|ISBN=
|année d'origine=1945
|section=Avant-propos
|page=XVI}}
{{citation
|citation=Ne disons plus que le temps est une donnée de la conscience, disons plus précisément que la conscience déploie ou constitue le temps. Par l'idéalité du temps, elle cesse enfin d'être enfermée dans le présent.
|précisions=
}}
{{Réf Livre|titre=Phénoménologie de la perception
|auteur=Maurice Merleau-Ponty
|éditeur=Gallimard
|collection=Tel
|année=1945
|ISBN=
|année d'origine=1945
|section=Troisième partie, chapitre 2 : La temporalité
|page=474}}
== ''Éloge de la philosophie'', 1953 ==
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|année d'origine=1953
|page=45}}
{{autres projets|w=Maurice Merleau-Ponty}}
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