« François-Joseph Cazin » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
Ligne 4 :
{{Citation|citation=''En publiant cette troisième édition du traité des plantes médicinales indigènes, je crois accomplir un devoir. Honorer la mémoire de mon père, tel est mon but; perpétuer son nom en perpétuant son œuvre, telles est la tâche qui m’incombe.''}}
{{Réf Livre|titre=Traité pratique et raisonné des plantes médicinales indigènes, 3ème édition, {{w|Henri Cazin}}, 1868|auteur={{w}}|éditeur=Abel Franklin|année=1997|page=IXX, introduction de la troisième édition|ISBN=978-2-909-907-38-3}}
 
{{Citation|citation=« Le traité de F-J Cazin, une leçon de médecine de partage ». - Ouvrage d’un médecin humaniste, remarquable observateur, fondateur de la phytothérapie savante de langue française.}}
{{Réf Livre|titre=Petite ethobotanique méditerranéenne|auteur={{w|Pierre Lieutaghi}}|éditeur=Actes Sud|année=Mars 2006|page=316|ISBN=2-7427-5674-4}}
 
{{Citation|citation=''Dans les villes, l'état social forme un corps dont toutes les parties distinctes, mais intimement liées, agissent et réagissent les unes sur les autres. L'aspect de la misère agglomérée y excite la pitié, et sollicite des secours qu'il est presque toujours facile de se procurer. Les villes ont des hospices, des bureaux de bienfaisance, des caisses de secours mutuels pour les ouvriers, des associations pieuses, des dispensaires, etc.''<br>