« François-Joseph Cazin » : différence entre les versions

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== Citations ==
{{Citation|citation=''On pourra lire {{w|François-Joseph Cazin|Cazin}} comme l'une des plus grandes sommes de médecine végétale, et à cet égard seul, y gagner beaucoup en connaissance. Mais, autant l’annoncer d'entrée : qui fréquente assidûment le Traité pratique et raisonné des plantes médicinales indigènes finira par suivre, fût-ce de loin, l'homme partait sous la pluie d'hiver, en calèche, sans examiner si ceux qui le faisaient appeler pourraient ou non le rémunérer. Là où il va, c’est là où demeure toujours, et jamais guérie, la {{w|justice}}''.}}
{{Réf Livre|titre=Traité pratique et raisonné des plantes médicinales indigènes, 3ème édition, 1868|auteur={{w}}, préface de {{w|Pierre Lieutaghi}}|éditeur=Abel Franklin|année=1997|page=14, préface|ISBN=978-2-909-907-38-3}}
 
{{Citation|citation=M. Cazin était du nombre de ceux dont on peut dire qu'ils sont les fils de leurs oeuvres.}}
{{Réf Livre|titre=Nécrologie de M. François Joseph Cazin », L’union médicale, vol. 23, n°86|auteur=Le Roy-Mabille|éditeur=Journal des intérêts scientifiques et pratiques moraux et professionnels|année=1864|page=144, [http://books.google.fr/books?ei=XOSXUZbfJYjqPMHHgcAD&hl=fr&id=lYQUAAAAQAAJ&jtp=144#v=onepage&q&f=false (en ligne)]}}
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''Si dans tous les temps on a préféré les objets difficiles à obtenir, dans tous les temps aussi il s’et trouvé des hommes assez dévoués à leur pays et à l'humanité pour combattre ce préjugé.''}}
{{Réf Livre|titre=Traité pratique et raisonné des plantes médicinales indigènes, 3ème édition, 1868|auteur={{w}}|éditeur=Abel Franklin|année=1997|page=VII et VIII, préface de la première édition|ISBN=978-2-909-907-38-3}}
 
{{Citation|citation=''On pourra lire {{w|François-Joseph Cazin|Cazin}} comme l'une des plus grandes sommes de médecine végétale, et à cet égard seul, y gagner beaucoup en connaissance. Mais, autant l’annoncer d'entrée : qui fréquente assidûment le Traité pratique et raisonné des plantes médicinales indigènes finira par suivre, fût-ce de loin, l'homme partait sous la pluie d'hiver, en calèche, sans examiner si ceux qui le faisaient appeler pourraient ou non le rémunérer. Là où il va, c’est là où demeure toujours, et jamais guérie, la {{w|justice}}''.}}
{{Réf Livre|titre=Traité pratique et raisonné des plantes médicinales indigènes, 3ème édition, 1868|auteur={{w}}, préface de {{w|Pierre Lieutaghi}}|éditeur=Abel Franklin|année=1997|page=14, préface|ISBN=978-2-909-907-38-3}}
 
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