« Dominique Venner » : différence entre les versions

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{{citation
|citation=EtrangersÉtrangers à la modération, ils conçoivent la vie politique sous les formes les plus radicales. Découverts dans les tranchées, l'esprit de communauté et la religion de la patrie doivent être transposés dans la paix. Le système libéral, son fractionnement des opinions, des intérêts et des classes, tout cela n'est pour eux que le ferment destructeur de la nation. Leur révolution fera une nation homogène. Elle édifiera de nouvelles hiérarchies étrangères à l'argent, fondées sur le mérite et la compétence. Ce qui a été réussi dans les troupes d'assaut et les tranchées, pourquoi ne pas l'appliquer à l'ensemble de la société?
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|langue=fr
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|source=[http://www.dominiquevenner.fr/2012/06/lettre-sur-lidentite-a-mes-amis-souverainistes/ Lettre sur l’identité à mes amis souverainistes]
|parution={{Date|26|juin|2012}}}}
 
{{citation bloc|Exister, c'est se vouer et se dévouer. Mais mourir, c'est parfois une autre façon d'exister. (...) La mort n'est pas seulement le drame que l'on dit, sinon pour ceux qui pleurent sincèrement le disparu. Elle met fin aux maladies cruelles et interrompt le délabrement de la vieillesse, donnant leur place aux nouvelles générations. La mort peut se révéler aussi une libération à l'égard d'un sort devenu insupportable ou déshonorant. Sous sa forme illustrée par les Samouraï et les “vieux Romains”, elle peut constituer la plus forte des protestations contre une indignité autant qu'une provocation à l'espérance. (…)|Éditorial de ''[[La Nouvelle Revue d'Histoire]]'', {{n°|64}}, janvier-février 2013}}