« François-Joseph Cazin » : différence entre les versions

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{{Citation|citation=''En publiant cette troisième édition du traité des plantes médicinales indigènes, je crois accomplir un devoir. Honorer la mémoire de mon père, tel est mon but ; perpétuer son nom en perpétuant son œuvre, telles est la tâche qui m’incombe.''}}
{{Réf Livre|titre=Traité pratique et raisonné des plantes médicinales indigènes, 3ème édition, {{w|Henri Cazin}}, 1868|auteur={{w}}|éditeur=Abel Franklin|année=1997|page=IXXXIX [http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k58310855/f20.image (texte en ligne)], introduction de la troisième édition|ISBN=978-2-909-907-38-3}}
 
{{Citation|citation=''Dans les villes, l'état social forme un corps dont toutes les parties distinctes, mais intimement liées, agissent et réagissent les unes sur les autres. L'aspect de la misère agglomérée y excite la pitié, et sollicite des secours qu'il est presque toujours facile de se procurer. Les villes ont des hospices, des bureaux de bienfaisance, des caisses de secours mutuels pour les ouvriers, des associations pieuses, des dispensaires, etc.''<br>
''Les campagnes sont privées de tous ces avantages et restent abandonnées à elles-mêmes, comme si, formant un peuple à part, elles n'étaient pas régies par les mêmes lois et ne devaient pas prétendre aux mêmes bienfaits. Dans les communes rurales, plus qu'ailleurs, s'offre le contraste du bien-être des riches et de l'indigence des nombreux habitants qui n'ont d'autres biens que l'emploi de leurs forces. Si l’ouvrier des campagnes est moins à plaindre que celui des villes tant qu'il se porte bien, il est bien plus pauvre, plus écrasé par le malheur quand la maladie l'atteint. Le plus souvent, alors, il souffre sans secours, lutte péniblement, languit ignoré et meurt silencieux et résigné dans une chaumière où le froid, l’humidité, la malpropreté se joignent aux autres causes de destruction.''}}
{{Réf Livre|titre=Traité pratique et raisonné des plantes médicinales indigènes, 3ème édition, 1868|auteur={{w}}|éditeur=Abel Franklin|année=1997|page=V [http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k58310855/f6.image (texte en ligne)], préface de la première édition|ISBN=978-2-909-907-38-3}}
 
{{Citation|citation=''Non-seulement on falsifie les substances exotiques dans leur pays natal, à leur arrivée dans nos ports et chez les droguistes, mais encore, quand elles sont d’un prix élevé, chez les pharmaciens avides et peu consciencieux.''<br>
''Si dans tous les temps on a préféré les objets difficiles à obtenir, dans tous les temps aussi il s’et trouvé des hommes assez dévoués à leur pays et à l'humanité pour combattre ce préjugé.''}}
{{Réf Livre|titre=Traité pratique et raisonné des plantes médicinales indigènes, 3ème édition, 1868|auteur={{w}}|éditeur=Abel Franklin|année=1997|page=VII et VIII [http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k58310855/f8.image (texte en ligne)], préface de la première édition|ISBN=978-2-909-907-38-3}}
 
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