« William Faulkner » : différence entre les versions

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=== ''Sartoris'', 1929 ===
{{citation|citation=Et, pendant ce temps-là, John Sartoris dormait parmi les chérubins guerriers au sein de l’inutile et vaine gloire d’on ne savait quel Dieu qu’il n’avait pas dédaigné de reconnaître.}}
{{Réf Livre|titre=Sartoris|auteur=William Faulkner|éditeur=Gallimard|collection=Folio|année=1999|page=61|année d'origine=1929|ISBN=2-07-036920-X|traducteur=R.-N. Raimbault et H. Delgove}}
{{Réf Livre|titre=Sartoris
|auteur=William Faulkner
|éditeur=Gallimard
|collection=Folio
|année=1999
|page=61
|année d'origine=1929
|ISBN=2-07-036920-X
|traducteur=R.-N. Raimbault et H. Delgove}}
 
{{citation|citation=L’homme qui proclame que ses aïeux ne l’intéressent pas est seulement un peu moins vain que celui qui fonde toutes ses actions sur la supériorité de sa race.}}
{{Réf Livre|titre=Sartoris
|auteur=William Faulkner
|éditeur=Gallimard|collection=Folio|année=1999|page=122|année d'origine=1929|ISBN=2-07-036920-X|traducteur=R.-N. Raimbault et H. Delgove}}
|éditeur=Gallimard
|collection=Folio
|année=1999
|page=122
|année d'origine=1929
|ISBN=2-07-036920-X
|traducteur=R.-N. Raimbault et H. Delgove}}
 
=== ''Tandis que j'agonise'', 1930 ===
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{{citation|citation=Le soir, après la sortie de l'école, quand le dernier était parti avec son petit nez morveux, au lieu de rentrer à la maison, je descendais la colline jusqu'à la source où je pouvais trouver le calme et les haïr.}}
{{Réf Livre|titre=Tandis que j'agonise|auteur=William Faulkner|éditeur=Gallimard|année=1966|page=183|année d'origine=1930|collection=Du monde entier|traducteur=Maurice-Edgar Coindreau}}
|auteur=William Faulkner
|éditeur=Gallimard
|année=1966
|page=183
|année d'origine=1930
|collection=Du monde entier
|traducteur=Maurice-Edgar Coindreau}}
 
{{citation|citation=Je me rappelais que mon père avait coutume de dire que le but de la vie c'est de se préparer à rester mort très longtemps.}} {{Réf Livre|titre=Tandis que j'agonise|auteur=William Faulkner|éditeur=Gallimard|année=1966|page=183|année d'origine=1930|collection=Du monde entier|traducteur=Maurice-Edgar Coindreau}}
 
{{citation|citation=Lui aussi avait un mot. Il appelait ça l'amour. Mais il y avait longtemps que j'étais habituée aux mots. Je savais que ce mot était comme les autres, rien qu'une forme pour combler un vide.}}
{{Réf Livre|titre=Tandis que j'agonise|auteur=William Faulkner|éditeur=Gallimard|année=1966|page=186|année d'origine=1930|collection=Du monde entier|traducteur=Maurice-Edgar Coindreau}}
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|éditeur=Gallimard
|année=1966
|page=186
|année d'origine=1930
|collection=Du monde entier
|traducteur=Maurice-Edgar Coindreau}}
 
{{citation|citation=Ma mère n'est pas dans la boîte. Ma mère ne sent pas comme ça. Ma mère est un poisson.}}
{{Réf Livre|titre=Tandis que j'agonise|auteur=William Faulkner|éditeur=Gallimard|année=1966|page=212|année d'origine=1930|collection=Du monde entier|traducteur=Maurice-Edgar Coindreau}}
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|éditeur=Gallimard
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|collection=Du monde entier
|traducteur=Maurice-Edgar Coindreau}}
 
{{citation|citation=Et puis, on n'est pas au monde pour avoir une vie facile. Il n'y aurait pas de raison pour être bon et mourir.}}
{{Réf Livre|titre=Tandis que j'agonise|auteur=William Faulkner|éditeur=Gallimard|année=1966|page=218|année d'origine=1930|collection=Du monde entier|traducteur=Maurice-Edgar Coindreau}}
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|éditeur=Gallimard
|année=1966
|page=218
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|collection=Du monde entier
|traducteur=Maurice-Edgar Coindreau}}
 
{{citation|citation=Comme nos vies se défont dans le vide et le silence! Gestes las qu'avec lassitude on répète, échos de vieilles contraintes tirés par des bras sans mains d'instruments sans cordes. Au coucher du soleil, nous prenons des attitudes furieuses, avec des gestes morts de poupées.}}
{{Réf Livre|titre=Tandis que j'agonise|auteur=William Faulkner|éditeur=Gallimard|année=1966|page=222|année d'origine=1930|collection=Du monde entier|traducteur=Maurice-Edgar Coindreau}}
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|éditeur=Gallimard
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|page=222
|année d'origine=1930
|collection=Du monde entier
|traducteur=Maurice-Edgar Coindreau}}
 
{{citation|citation=Si on pouvait tout simplement se défaire dans le temps. Ce serait agréable. Ce serait agréable si on pouvait tout simplement se défaire dans le temps.}}
{{Réf Livre|titre=Tandis que j'agonise|auteur=William Faulkner|éditeur=Gallimard|année=1966|page=224|année d'origine=1930|collection=Du monde entier|traducteur=Maurice-Edgar Coindreau}}
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|éditeur=Gallimard
|année=1966
|page=224
|année d'origine=1930
|collection=Du monde entier
|traducteur=Maurice-Edgar Coindreau}}
 
{{citation|citation=La grange était encore rouge, mais ce n'était plus une grange, maintenant. Elle était écroulée et le rouge montait en tourbillons. La grange s'en est allée, en tourbillons de petites choses rouges, vers le ciel et les étoiles. Et les étoiles ont reculé.}}
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{{citation|citation=Des fois, je ne sais pas trop si on a le droit de dire qu'un homme est fou ou non. Des fois, je crois qu'il n'y a personne de complètement fou et personne de complètement sain tant que la majorité n'a pas décidé dans un sens ou dans l'autre. C'est pas tant la façon dont un homme agit que la façon dont la majorité le juge quand il agit ainsi.}}
{{Réf Livre|titre=Tandis que j'agonise|auteur=William Faulkner|éditeur=Gallimard|année=1966|page=248|année d'origine=1930|collection=Du monde entier|traducteur=Maurice-Edgar Coindreau}}
{{Choisie citation du jour|puce=*|année=2010|mois=février|jour=10}}
|auteur=William Faulkner
|éditeur=Gallimard
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|traducteur=Maurice-Edgar Coindreau}}
{{Choisie citation du jour
|puce=*
|année=2010
|mois=février
|jour=10
|commentaire=
|}}
 
 
{{citation|citation=Notre frère Darl est enfermé dans un cabanon à Jackson. Et là, ses mains sales légèrement posées dans les paisibles intervalles des barreaux, il regarde au dehors, l'écume aux lèvres.}}
{{Réf Livre|titre=Tandis que j'agonise|auteur=William Faulkner|éditeur=Gallimard|année=1966|page=270|année d'origine=1930|collection=Du monde entier|traducteur=Maurice-Edgar Coindreau}}
|auteur=William Faulkner
|éditeur=Gallimard
|année=1966
|page=270
|année d'origine=1930
|collection=Du monde entier
|traducteur=Maurice-Edgar Coindreau}}
 
== Citations rapportées ==
{{citation|citation=Le passé ne meurt jamais. Il n'est même pas passé.|original=The past is never dead. It's not even past.|langue=en|précisions=Dans ''Requiem pour une nonne''.}}
{{Réf Livre|référence=Que serais-je sans toi ?/XO Éditions|page=184|partie=2 (« Les rues de San-Francisco »)|chapitre=18 (« Les souvenirs et les regrets aussi... »)}}
|original=The past is never dead. It's not even past.
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|précisions=Dans ''Requiem pour une nonne''.}}
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|référence=Que serais-je sans toi ?/XO Éditions
|page=184
|partie=2 (« Les rues de San-Francisco »)
|chapitre=18 (« Les souvenirs et les regrets aussi... »)}}
 
{{citation|citation=Je sais maintenant que ce qui fait d'un homme un imbécile, c'est son inaptitude à suivre même les bons conseils qu'il se donne à lui-même.
|langue=fr}}
{{Réf Livre|référence=Que serais-je sans toi ?/XO Éditions|page=79|partie=1 (« Sous le ciel de Paris »)|chapitre=7 (« Les duellistes »)}}
{{Réf Livre
|référence=Que serais-je sans toi ?/XO Éditions
|page=79
|partie=1 (« Sous le ciel de Paris »)
|chapitre=7 (« Les duellistes »)}}
 
Dans une interview au journal ''Le Monde'' quand il est interrogé sur le « problème noir dans le sud de l'Amérique » :