« Jean Laplanche » : différence entre les versions

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{{citation|citation=Mais le parcours de Jean Laplanche, figure centrale des développements post-lacaniens de la psychanalyse française, est surtout, si on peut dire, « intérieur », autrement dit marqué par une exigence à laquelle il n’a pas dérogé, une exigence de recherche, ou heuristique, qui, eût dit Jankélévitch, l’a fait se comporter, vis-à-vis du monde et des théories, « comme si rien n’allait de soi », comme si aucun « fait » ne devait échapper à la remise en question, ou à différentes « traductions. » }}
{{Réf Pub|nom=Laplanche, en signes de deuil|date=7 mai 2012|source=[http://www.liberation.fr/livres/2012/05/07/laplancheen-signes-de-deuil_817108 Libération]}}
 
 
{{citation|citation=« Pourquoi le temps, et pour quoi le temps à partir de la “théorie de la séduction généralisée” ? Eh bien, c'est qu'à mon sens il y a entre deux une liaison intime. La théorie de la séduction est une pensée du temps. C’est une pensée, permettez-moi ce néologisme, “traductive” du temps ».
|précisions=Propos de Jean Laplanche, dans Problématiques : Tome VI, l’{{W|après coup}}, PUF, 2006}}
 
 
{{citation|citation=Laplanche était un homme chaleureux, ouvert au débat et hostile à toute forme de réglementation des psychothérapies. Quand il recevait un visiteur dans son appartement de la rue de Varenne, donnant sur les jardins de l’Hôtel Matignon, il disait volontiers : « Moi je reste et eux s’en vont. »}}
{{Réf Pub|nom=Mort du psychanalyste Jean Laplanche, par [[Élisabeth Roudinesco]]|date=7 mai 2012|source=[http://www.cifpr.fr/+Mort-du-psychanalyste-Jean+ Centre interdisciplinaire de formation à la psychothérapie relationnelle]}}
 
{{autres projets|w=Jean Laplanche}}