« Giacomo Leopardi » : différence entre les versions
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Pour écrire trois mots quand il n’en faut que deux,
Traiter son propre coeur comme un chien qu’on enchaine,
Et fausser jusqu’aux pleurs que l’on a dans les yeux.</poem>|précisions=''La vie du poète''}}
{{Réf Livre|titre=Poésie|auteur={{w}}|éditeur=Ebookmalin|année=2013|ISBN=978-2-36788-139-3|page=5
{{Citation|citation=<poem>Ton manteau est superbe, ô ciel divin, et tu es superbe, terre pleine de rosée. Hélas ! de cette beauté infinie les dieux et le sort impie n'ont donné aucune part à la malheureuse Sapho.</poem>|précisions=''Dernier chant de Sapho''}}
{{Réf Livre|titre=Poésie|auteur={{w}}|éditeur=Ebookmalin|année=2013|ISBN=978-2-36788-139-3|page=64
{{Citation|citation=<poem>- Il me revient à
- Les yeux à toute heure tournés et fixés vers le sol, je regardais celle qui la première et innocemment ouvrit l’entrée de ce coeur.
- Ah ! comme tu m'as mal gouverné, amour ! Pourquoi une si douce passion devait-elle apporter avec elle tant de désir, tant de douleur ?
- Pourquoi ce plaisir si grand me descendait-il dans le coeur, non pas serein, entier et libre, mais peint de souffrance et de lamentation ?</poem>|précisions=''Le premier amour''}}▼
{{Réf Livre|titre=Poésie|auteur={{w}}|éditeur=Ebookmalin|année=2013|ISBN=978-2-36788-139-3|page=66
▲Pourquoi ce plaisir si grand me descendait-il dans le coeur, non pas serein, entier et libre, mais peint de souffrance et de lamentation ?}}
▲{{Réf Livre|titre=Poésie|auteur={{w}}|éditeur=Ebookmalin|année=2013|ISBN=978-2-36788-139-3|page=66|précision=Le premier amour}}
== ''Pensées'' ==
[[Fichier:Giacomoleopardi1837.jpg|thumb|upright]]
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