« Giacomo Leopardi » : différence entre les versions

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== Poésie ==
[[Fichier:Leopardi, Giacomo (1798-1837) - ritr. A Ferrazzi, Recanati, casa Leopardi.jpg|thumb|upright=1.1]]
{{Citation|citation=<poem>Non, je ne connais pas de métier plus honteux,
Plus sot, plus dégradant pour la pensée humaine
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== ''Pensées'' ==
[[Fichier:Giacomoleopardi1837.jpg|thumb|upright=1.1]]
{{Citation|citation=<poem>''Je me suis longtemps refusé à tenir pour vrai ce que je vais dire, car compte tenu de la singularité de ma nature et du fait que l’on tend toujours à juger les autres d’après soi-même, je n’ai jamais été porté à haïr les hommes, mais au contraire à les aimer.''
''C’est l’expérience qui, non sans résistance de ma part, a fini par me convaincre ; mais je suis sûr que les lecteurs rompus au commerce des hommes, reconnaitront la justesse de mes propos ; tous les autres les trouveront excessifs, jusqu’au jour où l’expérience, s'ils ont jamais l'occasion de faire réellement l'expérience de la société humaine, leur ouvrira les yeux à leur tour.''</poem>}}
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== ''Petites œuvres morales'' ==
[[Fichier:Giacomo Leopardi.jpg|thumb|upright=1.1]]
{{Citation|citation=<poem>[[Mort|LA MORT]]. - ''Finalement, je veux bien croire que tu es ma soeur et, si cela peut te faire plaisir, j'y crois plus qu'à la mort même, sans que tu ailles pour autant me rayer de l'état civil! Mais à rester ainsi sans bouger, je vais m'évanouir. Si le coeur t'en dit, essaie de courir à mes côtés, en tâchant cependant de ne pas crever, car je suis plutôt rapide. Tout en courant, tu pourras me dire ce que tu attends de moi; sinon, eu égard à notre parenté, je te promets de te laisser, lorsque je mourrai, la totalité de mes biens.''</poem>}}
{{Réf Livre|titre=Petites œuvres morales [http://books.google.fr/books?id=ADnhlL0ga7kC&printsec=frontcover&hl=fr&source=gbs_ge_summary_r&cad=0#v=onepage&q&f=false (texte en ligne)]|auteur={{w}}|éditeur=Allia|année=1992 pour la traduction|page=25|}}