« Giacomo Leopardi » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
Ligne 17 :
- Les yeux à toute heure tournés et fixés vers le sol, je regardais celle qui la première et innocemment ouvrit l’entrée de ce coeur.
- Ah ! comme tu m'as mal gouverné, amour ! Pourquoi une si douce passion devait-elle apporter avec elle tant de désir, tant de douleur ?
- Pourquoi ce plaisir si grand me descendait-il dans le cœur, non pas serein, entier et libre, mais plein de souffrance et de lamentation ?</poem>|précisions=''Le premier amour''}}
[…]
-L'image immaculée et candide qui était peinte dans mon âme, je craignais de la troubler, comme le vent trouble l'onde d'un lac.
Ligne 24 :
-Au ciel et à vous, âmes nobles, je jure que aucun désir ne m’entra dans le coeur, que je brule d’un feu pur de toute souillure.
-Ce feu vit, et elle respira dans ma pensée la belle image de celle qui me donna jamais que des plaisirs célestes,
Et je m'en contente.</poem>|précisions=''Le premier amour''}}
{{Réf Livre|titre=Poésie|auteur={{w}}|éditeur=Ebookmalin|année=2013|ISBN=978-2-36788-139-3|page=66 à 68}}
 
== ''Pensées'' ==