« Giacomo Leopardi » : différence entre les versions

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'''{{w}}''', né le 29 juin 1798 à {{w|Recanati}} et mort le 14 juin 1837 à {{w|Naples}}, est un poète, philosophe, écrivain, {{w|moraliste}} et {{w|philologue|philologue}} {{w|italien}}.
 
== Poésie ==
[[Fichier:Leopardi, Giacomo (1798-1837) - ritr. A Ferrazzi, Recanati, casa Leopardi.jpg|thumb|upright=1.1]]
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{{Réf Livre|titre=Poésie|auteur={{w}}|éditeur=Ebookmalin|année=2013|ISBN=978-2-36788-139-3|page=5}}
 
{{Citation|citation=<poem>Ton manteau est superbe, ô ciel divin, et tu es superbe, terre pleine de rosée. Hélas ! de cette beauté infinie les dieux et le sort impie n’ont donné aucune part à la malheureuse Sapho.</poem>|précisions=''Dernier chant de Sapho''}}
|précisions=''Dernier chant de Sapho''}}
{{Réf Livre|titre=Poésie|auteur={{w}}|éditeur=Ebookmalin|année=2013|ISBN=978-2-36788-139-3|page=64}}
 
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-Au ciel et à vous, âmes nobles, je jure que aucun désir ne m’entra dans le coeur, que je brule d’un feu pur de toute souillure.
-Ce feu vit encore, ma passion vit, et elle respira dans ma pensée la belle image de celle qui me donna jamais que des plaisirs célestes,
Et je m’en contente.</poem>|précisions=''Le premier amour''}}
|précisions=''Le premier amour''}}
{{Réf Livre|titre=Poésie|auteur={{w}}|éditeur=Ebookmalin|année=2013|ISBN=978-2-36788-139-3|page=66 à 68}}
 
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[[Fichier:Giacomo Leopardi.jpg|thumb|upright=1.1]]
{{Citation|citation=<poem>[[Mort|LA MORT]]. - ''Finalement, je veux bien croire que tu es ma soeur et, si cela peut te faire plaisir, j'y crois plus qu'à la mort même, sans que tu ailles pour autant me rayer de l'état civil! Mais à rester ainsi sans bouger, je vais m'évanouir. Si le coeur t'en dit, essaie de courir à mes côtés, en tâchant cependant de ne pas crever, car je suis plutôt rapide. Tout en courant, tu pourras me dire ce que tu attends de moi; sinon, eu égard à notre parenté, je te promets de te laisser, lorsque je mourrai, la totalité de mes biens.''</poem>}}
{{Réf Livre|titre=Petites œuvres morales [http://books.google.fr/books?id=ADnhlL0ga7kC&printsec=frontcover&hl=fr&source=gbs_ge_summary_r&cad=0#v=onepage&q&f=false (texte en ligne)]|auteur={{w}}|éditeur=Allia|année=1992 pour la traduction|page=25|}}
 
=== ''Dialogue d’un physicien et d’un métaphysicien'' ===
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{{Personnage|physicien}} : Pourquoi donc ?
{{Personnage|Metaphysicien}} : Parce que si la vie n’est pas heureuse, et jusqu’ici elle ne l’a guère été, il vaut mieux qu’elle soit courte.
{{Personnage|physicien}} : Pas du tout, la vie est un bien en elle même, que tout le monde recherche et aime naturellement.</poem>}}
{{Réf Livre|titre=Dialogue d’un physicien et d’un métaphysicien, Petites œuvres morales|auteur={{w}}|éditeur=Allia|année=1992 pour la traduction|page=70-71|}}
</poem>}}
{{Réf Livre|titre=Dialogue d’un physicien et d’un métaphysicien, Petites œuvres morales|auteur={{w}}|éditeur=Allia|année=1992 pour la traduction|page=70-71|}}
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{{Personnage|Metaphysicien}} :…''Que chacun pense et agisse à sa guise, la mort ne manquera pas d’en faire autant''.
:::{{Réf Livre|titre=Dialogue d’un physicien et d’un métaphysicien, Petites œuvres morales<ref>[http://books.google.fr/books?id=ADnhlL0ga7kC&pg=PA70&lpg=PA70&dq=Dialogue+d’un+physicien+et+d’un+métaphysicien&source=bl&ots=iUSdOw5vhh&sig=HKNChBtoLiC0mC8I1FmUAwGD1SU&hl=fr&sa=X&ei=Bl9oUa-_O4GqPLbWgJgC&ved=0CEkQ6AEwAw#v=onepage&q=Dialogue%20d’un%20physicien%20et%20d’un%20métaphysicien&f=false Petites oeuvres morales, Dialogue d’un physicien et d’un métaphysicien, Texte en ligne]</ref>|auteur=Giacomo Leopardi|éditeur=Allia|année=1992 pour la traduction|page= 76|}}
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