« André Leroi-Gourhan » : différence entre les versions

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:''Qui donc d'autre qu'André Leroi-Gourhan aurait su, avec autant de discernement, nous le faire connaître et faire en sorte que nous recherchions avec lui les moyens d'expression proprement humains, le geste et la parole ? Avec ce livre, il nous offre non seulement un autre aspect de son œuvre, mais ouvre toutes grandes les portes de la connaissance de l’Homme''. Jean Chavaillon. André Leroi-Gourhan, Le geste et la parole, L'Homme, 1967, vol. 7, n° 3, pp. 122-124.
 
* "On connaît mieux les échanges de prestige que les échanges quotidiens, les prestations rituelles que les services banaux, la circulation des monnaies dotales que celle des légumes, beaucoup mieux la pensée des sociétés que leur corps (...). Alors que Durkheim et Mauss ont luxueusement défendu le ‘fait social total’, ils ont supposé l’infrastructure techno-économique connue » (Le geste et la parole, volume 1, Paris, Albin Michel, 1964, p.210. Cité aussi par {{W|Claude Meillassoux}}, [http://books.google.fr/books?id=siMutyOMMlkC&printsec=frontcover&hl=fr&source=gbs_ge_summary_r&cad=0#v=onepage&q&f=false femmesFemmes, greniers et capitaux p.30.,] N.7.
 
=== Pages oubliées du Japon ===