« Bertrand Russell » : différence entre les versions

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== ''Principes de reconstruction sociale'' (1924) ==
 
{{citation|citation=''Trois passions, simples et extrêmement fortes, ont gouverné ma vie : la recherche passionnée de l’amour, la quête du savoir et une douloureuse pitié devant la souffrance de l’humanité''<ref>[http://books.google.fr/books?id=V2sUmFK3LqwC&printsec=frontcover&hl=fr#v=onepage&q&f=false Principes de reconstruction social], Bertrand Russell, revue et corrigé par {{w|Normand Baillargeon}}, introduction.</ref>.|précisions=extrait de ''autobiographie''}}
{{Réf Livre|titre=Principes de reconstruction sociale|auteur=Bertrand Russell|éditeur=Presse de l’université de Laval|année=2007|page=1|section=|ISBN=978-2-7637-8485-4|traducteur=Normand Baillargeon|année d’origine=1924}}
 
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{{Réf Livre|titre=Principes de reconstruction sociale|auteur=Bertrand Russell|éditeur=Presse de l’université de Laval|année=2007|page=1-2|section=|ISBN=978-2-7637-8485-4|traducteur=Normand Baillargeon|année d’origine=1924}}
 
{{citation|citation=''Quand la guerre fut finie, je vis que tout ce que j’avais fait avait été complètement inutile[...]. Je n'avais pas sauvé une seule vie ou raccourci la guerre d'une seule minute. Je n’avais pas été capable de quoi que ce soit pour diminuer la profonde amertume qui donnerait le {{W|Traité de Versailles}}.''}}
{{Réf Livre|titre=Principes de reconstruction sociale|auteur=Bertrand Russell|éditeur=Presse de l’université de Laval|année=2007|page=21|section=|ISBN=978-2-7637-8485-4|traducteur=Normand Baillargeon|année d’origine=1924}}
 
{{citation|citation=''Le socialisme, quoi que nous pensions de ses mérites, est un grand pouvoir, qui se développe et transforme la vie économique et politique ; et le socialisme doit son nom à un petit nombre de théoriciens isolés''.}}
{{Réf Livre|titre=Principes de reconstruction sociale|auteur=Bertrand Russell|éditeur=Presse de l’université de Laval|année=2007|page=176|section=|ISBN=978-2-7637-8485-4|traducteur=Normand Baillargeon|année d’origine=1924}}
 
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== Citations à propos de Bertrand Russell ==
{{citation|''Mais il demeurera toujours fidèle au principe de parcimonie qui, comme il le dit lui-même, caractérise sa « renonciation progressive à Pythagore ». Une formulation particulière de ce principe consiste à dire que « la logique mathématique a pour but, non de donner aux mots un statut ontologique qui pourrait être mis en doute, mais plutôt de diminuer le nombre de mots dont la signification directe est de désigner un objet ». Voilà bien le principe paradigmatique que Russell lègue à la philosophie toute entière : lorsque le sage montre la lune, il est prudent au préalable de jouer à l’imbécile en examinant le doigt''.}}
{{Réf Pub|nom=La théorie russellienne des descriptions : « un paradigme de la philosophie » |date=2003|source=Philipppe Jouvi, [http://www.ac-grenoble.fr/PhiloSophie/file/art_russel_jovi.pdf (version pdf accessible en ligne)]}}
{{Choisie citation du jour|puce=*|année=2013|mois=mai|jour=8|commentaire=|}}
 
{{citation|''Bertrand Russell est un philosophe sans philosophie. On pourrait dire la même chose en disant qu’il est un philosophe de toutes les philosophies. Il n’est guère de point de vue philosophique important aujourd’hui que l’on ne trouve reflété dans ses écrits à une période ou une autre''.}}
{{Réf Pub|nom=La théorie russellienne des descriptions : « un paradigme de la philosophie » |date=2003|source=Philipppe Jouvi, [http://www.ac-grenoble.fr/PhiloSophie/file/art_russel_jovi.pdf (version pdf accessible en ligne)]}}
 
{{Citation|citation= ''Une chose est ce qu’elle est, et pas autre chose''.
|original= De l’Évèque {{w|Joseph Butler}} : Everything is what it is, and not another thing. |langue=en}}
{{Réf Livre|auteur=Bertrand Russell |éditeur= Cambridge university press|titre={{w|Principia Ethica}}|année=1959|page= de garde, [http://archive.org/details/principiaethica00mooruoft (lire en ligne)]|traducteur=Wikiquote}}