« Gustave Flaubert » : différence entre les versions

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|année d'origine=1857
|collection=Classiques Garnier}}
 
{{citation|citation=Le plus médiocre libertin a rêvé des sultanes, chaque notaire porte en soi les débris d'un poète.}}
{{Réf Livre|titre=Madame Bovary
|auteur=Gustave Flaubert
|éditeur=Eugène Fasquelle
|année=1905
|page=264}}
 
{{citation|citation=Cette lâche docilité qui est pour bien des femmes comme le châtiment tout à la fois la rançon de l'adultère}}
{{Réf Livre|titre=Madame Bovary
|auteur=Gustave Flaubert
|éditeur=Eugène Fasquelle
|année=1905
|page=314}}
 
{{citation|citation=Il y a toujours après la mort de quelqu'un comme une stupéfaction qui se dégage, tant il est difficile de comprendre cette survenue du néant et de se résigner à y croire.}}
{{Réf Livre|titre=Madame Bovary
|auteur=Gustave Flaubert
|éditeur=Eugène Fasquelle
|année=1905
|page=379}}
 
{{citation|citation= […], la parole est un laminoir qui allonge toujours les sentiments.}}
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|commentaire=
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{{citation|citation=Le plus médiocre libertin a rêvé des sultanes, chaque notaire porte en soi les débris d'un poète.}}
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|auteur=Gustave Flaubert
|éditeur=Eugène Fasquelle
|année=1905
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|année d'origine=1857}}
 
{{citation|citation=Cette lâche docilité qui est pour bien des femmes comme le châtiment tout à la fois la rançon de l'adultère}}
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{{citation|citation=Il y a toujours après la mort de quelqu'un comme une stupéfaction qui se dégage, tant il est difficile de comprendre cette survenue du néant et de se résigner à y croire.}}
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