« André Leroi-Gourhan » : différence entre les versions

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=== Le geste et la parole ===
{{citation|
*[…]citation=André Leroi-Gourhan Indiquait clairement ici une ligne de recherche qui reste négligée pour les raison qu’il exprimait dèja en notant qu’en sciences humaines « l'infrastructurel’infrastructure techno-économique n'estn’est intervenue le plus souvent que dans la mesure où elle marquait de manière indiscrète la superstructure de pratiques matrimoniales et des rites [...]. De sorte…}}
{{Réf Livre|titre=Femmes, greniers et capitaux|auteur={{W|Claude Meillassoux}}|éditeur=L’Harmattan|année=1992|page=30., [http://books.google.fr/books?id=siMutyOMMlkC&printsec=frontcover&hl=fr&source=gbs_ge_summary_r&cad=0#v=onepage&q&f=false N.7.]}}
 
{{citation|
*[…]Oncitation=…On connaît mieux les échanges de prestige que les échanges quotidiens, les prestations rituelles que les services banaux, la circulation des monnaies dotales que celle des légumes, beaucoup mieux la pensée des sociétés que leur corps (...). Alors que Durkheim et Mauss ont luxueusement défendu le ‘fait social total’, ils ont supposé l’infrastructure techno-économique connue »}} (Le geste et la parole, volume 1, Paris, Albin Michel, 1964, p.210.
{{Réf Livre|titre=Le geste et la parole, volume 1|auteur=André Leroi-Gourhan|éditeur=Albin Michel|année=1964|page=210}}
 
*« Toute fabrication est un dialogue entre le fabriquant et la matière » (''Le geste et la parole'' vol. 2, 1965)