« Discussion:Négationnisme » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
Aucun résumé des modifications
Animus63 (discussion | contributions)
ne pas mêler negationistes avec non-negationistes
 
Ligne 5 :
* Je ne suis pas convaincu qu'on puisse publier ici des propos négationnistes. C'est un délit, au moins dans la loi française. C'est un point important à vérifier.
* Second problème : l'admissibiité de certaines citations est à vérifier, car la notoriété de leurs auteurs et des ouvrages dont elles sont tirées ne me saute pas aux yeux. --[[Utilisateur:Eunostos|Eunostos]] ([[Discussion utilisateur:Eunostos|discussion]]) 11 mai 2013 à 14:03 (CEST)
* Vous ne pouvez paz simplement ajouter le nom d'un expert des droits humains et le mêler avec Faurisson. Indirectement vous faites la diffamation. Si vous ajoutez aussi Timothy Garton Ash et le Professeur Pierre Nora (Académie française) ca irai -- peut être.
Dans le cadre des Rendez-vous de l’Histoire de Blois consacrés en 2008 aux Européens, Liberté pour l’Histoire invite à approuver l’appel suivant :
 
Inquiets des risques d’une moralisation rétrospective de l’histoire et d’une censure intellectuelle, nous en appelons à la mobilisation des historiens européens et à la sagesse des politiques.
L’histoire ne doit pas être l’esclave de l’actualité ni s’écrire sous la dictée de mémoires concurrentes. Dans un État libre, il n’appartient à aucune autorité politique de définir la vérité historique et de restreindre la liberté de l’historien sous la menace de sanctions pénales.
Aux historiens, nous demandons de rassembler leurs forces à l’intérieur de leur propre pays en y créant des structures similaires à la nôtre et, dans l’immédiat, de signer individuellement cet appel pour mettre un coup d’arrêt à la dérive des lois mémorielles.
Aux responsables politiques, nous demandons de prendre conscience que, s’il leur appartient d’entretenir la mémoire collective, ils ne doivent pas instituer, par la loi et pour le passé, des vérités d’État dont l’application judiciaire peut entraîner des conséquences graves pour le métier d’historien et la liberté intellectuelle en général.
En démocratie, la liberté pour l’histoire est la liberté de tous.
 
Pierre NORA, président de Liberté pour l’Histoire.
 
 
Premiers signataires : Aleida et Jan Assmann (Constance et Heidelberg), Élie Barnavi (Tel Aviv), Luigi Cajani (Rome), Hélène Carrère d’Encausse (Paris), Étienne François (Berlin), Timothy Garton Ash (Oxford), Carlo Ginzburg (Bologne), José Gotovitch (Bruxelles), Eric Hobsbawm (Londres), Jacques Le Goff (Paris), Karol Modzelewski (Varsovie) Jean Puissant (Bruxelles), Sergio Romano (Milan), Rafael Valls Montés, (Valence), Henri Wesseling (La Haye), Heinrich August Winkler (Berlin), Guy Zelis (Louvain).
Revenir à la page « Négationnisme ».