« Francis Bacon » : différence entre les versions

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== Citations sourcées ==
{{citation|citation=''Le médecin (...), pour guérir la maladie, tue le malade.|original=Cure the disease, and kill the patient.''|langue=en}}
{{Réf Livre|titre=Essais du chevalier Bacon [http://books.google.fr/books?id=kww_AAAAYAAJ&printsec=frontcover&hl=fr&pg=PA213 (texte en ligne)], chancelier d’Angleterre, sur divers sujets de politique, & de morale|auteur={{w}}Francis Bacon|éditeur=Chez Emery|année=1734|page=213.|section« De l’amitié »}}
{{Choisie citation du jour|puce=*|année=2009|mois=octobre|jour=2}}
 
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== ''La Sagesse des Anciens'' ==
{{citation|citation=''Comment en effet ne pas trouver étrange l'occultation d'un texte remarquable tout autant par son importance théorique que par sa qualité littéraire ? Dans un style d’une grande élégance et concision Bacon expose trente-et-une fables des « anciens poètes »  ; à la narration de chacune faisant suite une interprétation extrêmement dense, qui met en jeu l'une ou plusieurs des grandes orientations de la pensée baconienne : philosophie de la nature, théorie de la science, morale, pensée politique.''}}
{{Réf Livre|titre=La Sagesse des Anciens, [http://books.google.fr/books?id=13FuNcJ_FncC&pg=PA11 (texte en ligne)]|auteur={{w}}Francis Bacon|éditeur=J. Vrin, Librairie philosophique|année=1997|page=11.|ISBN=2-7116-1302-X}}
 
== ''{{w|Novum Organum}}'', 1857 ==
{{citation|citation=La science de l'homme est la mesure de sa puissance, parce qu'ignorer la cause, c'est ne pouvoir produire l'effet. On ne triomphe de la nature qu’en lui obéissant ; et ce qui, dans la spéculation, porte le nom de cause, devient une règle dans la pratique.}}
{{Réf Livre|titre=Novum Organum [http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k201287p/f16.image (texte en ligne)]|auteur={{w}}Francis Bacon, nouvelle traduction de Lorquet|éditeur=Hachette|année=1857|page=7}}
 
{{citation|citation=On ne demande point au {{w|syllogisme}} les principes de la science ; on lui demande vainement les lois intermédiaires, parce qu’ils est incapable de saisir la nature dans sa subtilité ; il lie l’esprit, mais non les choses.}}
{{Réf Livre|titre=Novum Organum [http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k201287p/f17.image (texte en ligne)]|auteur={{w}}Francis Bacon, nouvelle traduction de Lorquet|éditeur=Hachette|année=1857|page=8}}
 
{{citation|citation=Les empiriques, semblables aux {{W|fourmis}}, ne savent qu’amasser et user ; les rationalistes, semblables aux [[araignée|araignées]], font des toiles qu’ils tirent d’eux même ; le procédé de l’[[abeille]] tient le milieu entre ces deux : elle recueille ses matériaux sur les fleurs des jardins et des champs ; mais elle les transforme et les distille par une vertu qui lui est propre : c’est l’image du véritable travail de la philosophie, qui ne se fie pas aux seules forces de l’esprit humain et n’y prend même pas son principal appui. (...) C’est pourquoi il y a tout à espérer d’une alliance intime et sacrée de ces deux facultés expérimentale et rationnelle ; alliance qui ne s’est pas encore rencontrée.}}
{{Réf Livre|titre=Novum Organum [http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k201287p/f60.image (texte en ligne)]|auteur={{w}}Francis Bacon, nouvelle traduction de Lorquet|éditeur=Hachette|année=1857|page=51}}
 
== Autres citations ==