« Croisades » : différence entre les versions

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|ISBN=978-2-02-023169-5}}
 
== [[RégineRené PernoudGirard]], ''LesAchever Hommes de la CroisadeClausewitz'', 19822007 ==
{{citation|citation=L'histoire des croisades a particulièrement retenu l'attention des historiens : rappelons seulement le grand nom de René Grousset et, après lui, ceux d'un Jean Richard ou d'un claude Cahen, qui, utilisant systématiquement les sources arabes à côté des sources occidentales, ont marqué une étape considérable dans la connaissance des royaumes latins d'Orient ; ou encore, à l'étranger, d'un Runciman, d'un Stevenson, et cette admirable synthèse que constitue la grande ''Histoire des Croisades'' publiée par l'université de Philadelphie.}}
{{Réf Livre|titre=Les Hommes de la Croisade
|auteur=Régine Pernoud
|éditeur=Fayard/Tallandier
|ISBN=2-213-01223-7
|année=1982
|page=7}}
 
{{citation|citation=On peut se demander dans quelle mesure les excès des Croisades, au XIIIe siècle, ne sont pas une réponse mimétique au ''djihad'', dont nous subissons aujourd’hui les conséquences en Europe et au Proche-Orient. Que d’énergie perdue pour conquérir un tombeau vide !}}
{{citation|citation=Les croisades représentent (...) l'un des points culminants de l'histoire du Moyen Age : aventure unique en son genre, ni migration ni colonisation, mené par des volontaires, et des volontaires fournis par tous les peuples de l'Europe, en dehors de toutes ressources régulières et de toute organisation centralisée ; tout cela compose pour nous un spectacle assez surprenant et amène à se poser quelques questions sur les hommes qui y jouèrent un rôle.}}
{{Réf Livre|titre=LesAchever Hommes de la CroisadeClausewitz
|auteur=RégineRené PernoudGirard
|éditeur=Fayard/TallandierCarnets Nord
|ISBN=2978-213235536-01223002-72
|année=19822007
|page=790}}
 
{{citation|citation=N’avoir d’autre énergie que celle de piller des nations étrangères, c’est ce que les Croisades ont commencé. La Quatrième aura été, de ce point de vue, la plus caricaturale, lâchant une bande d’antiquaires dans cette formidable accumulation de luxe qu’était Constantinople.}}
{{Réf Livre|titre=Achever Clausewitz
|auteur=René Girard
|éditeur=Carnets Nord
|ISBN=978-235536-002-2
|année=2007
|page=245}}
 
== [[Gustave Le Bon]], ''La civilisation des Arabes'', 1884 ==
 
{{citation|citation=Une des plus funestes conséquences des croisades fut d'avoir établi pour des siècles l'intolérance dans le monde, et de lui avoir donné ce caractère de cruauté barbare qu'aucune religion n'avait connu encore. Avant les croisades, l'intolérance était assez grande, mais il était rare qu'elle allât jusqu'à la cruauté. Pendant les croisades, elle acquit un degré de frénésie furieuse qui se prolongea presque jusqu'à nos jours. Habitué à verser le sang, le clergé appliqua bientôt à la propagation de la foi et à l'extinction des hérésies les procédés d'extermination appliqués d'abord aux infidèles. La moindre velléité d'opposition lui paraissait digne des plus affreux supplices. Les massacres des Juifs, des Albigeois et des diverses catégories d'hérétiques, l'Inquisition, les guerres de religion et toutes ces luttes qui ensanglantèrent l'Europe pendant si longtemps, furent les conséquences du funeste esprit d'intolérance développé par les croisades}}
{{Réf Livre|titre=La Civilisation des Arabes
|auteur=RenéGustave GirardLe Bon
|éditeur=La Fontaine au Roy
|année=1990
|année d'origine=1884
|page=350}}
 
== Cécile Morrisson, ''Les Croisades'', 2003 ==
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|collection=Que sais-je?
}}
 
== [[Régine Pernoud]], ''Les Hommes de la Croisade'', 1982 ==
{{citation|citation=L'histoire des croisades a particulièrement retenu l'attention des historiens : rappelons seulement le grand nom de René Grousset et, après lui, ceux d'un Jean Richard ou d'un claude Cahen, qui, utilisant systématiquement les sources arabes à côté des sources occidentales, ont marqué une étape considérable dans la connaissance des royaumes latins d'Orient ; ou encore, à l'étranger, d'un Runciman, d'un Stevenson, et cette admirable synthèse que constitue la grande ''Histoire des Croisades'' publiée par l'université de Philadelphie.}}
{{Réf Livre|titre=Les Hommes de la Croisade
|auteur=Régine Pernoud
|éditeur=Fayard/Tallandier
|ISBN=2-213-01223-7
|année=1982
|page=7}}
 
{{citation|citation=Les croisades représentent (...) l'un des points culminants de l'histoire du Moyen Age : aventure unique en son genre, ni migration ni colonisation, mené par des volontaires, et des volontaires fournis par tous les peuples de l'Europe, en dehors de toutes ressources régulières et de toute organisation centralisée ; tout cela compose pour nous un spectacle assez surprenant et amène à se poser quelques questions sur les hommes qui y jouèrent un rôle.}}
{{Réf Livre|titre=AcheverLes ClausewitzHommes de la Croisade
|auteur=Régine Pernoud
|éditeur=Fayard/Tallandier
|ISBN=2-213-01223-7
|année=20071982
|page=907}}
 
== Revue ''Terre et Peuple'' Nº 17, 2003 ==
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}}
 
== [[René Girard]], ''Achever Clausewitz'', 2007 ==
 
{{citation|citation=On peut se demander dans quelle mesure les excès des Croisades, au XIIIe siècle, ne sont pas une réponse mimétique au ''djihad'', dont nous subissons aujourd’hui les conséquences en Europe et au Proche-Orient. Que d’énergie perdue pour conquérir un tombeau vide !}}
{{Réf Livre|titre=Achever Clausewitz
|auteur=René Girard
|éditeur=Carnets Nord
|ISBN=978-235536-002-2
|année=2007
|page=90}}
 
{{citation|citation=N’avoir d’autre énergie que celle de piller des nations étrangères, c’est ce que les Croisades ont commencé. La Quatrième aura été, de ce point de vue, la plus caricaturale, lâchant une bande d’antiquaires dans cette formidable accumulation de luxe qu’était Constantinople.}}
{{Réf Livre|titre=Achever Clausewitz
|auteur=René Girard
|éditeur=Carnets Nord
|ISBN=978-235536-002-2
|année=2007
|page=245}}
 
{{interprojet|w=Croisades}}