« Franz Kafka » : différence entre les versions

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=== ''Réflexions sur le péché, la souffrance, l'espérance et le vrai chemin'' ===
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<center>1</center>
Le vrai chemin passe par-dessus une corde qui n’est pas tendue en hauteur, mais presque au ras du sol. Elle semble plus faite pour faire trébucher que pour être franchie.}}
{{réf Livre|titre=Réflexions sur le péché, la souffrance, l'espérance et le vrai chemin|auteur=Franz Kafka|éditeur=Payot et Rivages|année=2001|collection=Rivages poche, Petite bibliothèque|traducteur=Bernard Pautrat|ISBN=2-7436-0773-4|page=29}}
 
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<center>3</center>Il y a pour les hommes deux péchés capitaux, d'où découlent tous les autres : impatience et paresse. <!-- (NB. Lässigkeit = négligence ?)--> L'impatience les a fait chasser du Paradis, la paresse empêche qu'ils reviennent. Mais peut-être n'y a-t-il qu'un péché capital : l'impatience. L'impatience les a fait chasser, l'impatience empêche qu'ils reviennent.}}
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<center>22</center>Tu es le devoir. Pas d’écolier alentour.}}
<center>45</center>Plus tu attelles de checaux, plus ça va vite - non pas, bien sûr, l'arrachement du bloc à la fondation, cela est impossible, mais la rupture des brides et du coup, à vide, la course joyeuse.}}
{{réf Livre|titre=Réflexions sur le péché, la souffrance, l'espérance et le vrai chemin|auteur=Franz Kafka|éditeur=Payot et Rivages|année=2001|collection=Rivages poche, Petite bibliothèque|traducteur=Bernard Pautrat|ISBN=2-7436-0773-4|page=38}}
 
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<center>45</center>Plus tu attelles de checauxchevaux, plus ça va vite - non pas, bien sûr, l'arrachement du bloc à la fondation, cela est impossible, mais la rupture des brides et du coup, à vide, la course joyeuse.}}
{{réf Livre|titre=Réflexions sur le péché, la souffrance, l'espérance et le vrai chemin|auteur=Franz Kafka|éditeur=Payot et Rivages|année=2001|collection=Rivages poche, Petite bibliothèque|traducteur=Bernard Pautrat|ISBN=2-7436-0773-4|page=46}}
 
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<center>50</center>L’homme ne peut vivre sans une durable confiance en quelque chose en lui d’indesctructible, en quoi tant l’indestructible que la confiance elle-même peuvent rester durablement cachés. Une des expressions possibles de ce rester-caché est la foi en un Dieu personnel.}}
{{réf Livre|titre=Réflexions sur le péché, la souffrance, l'espérance et le vrai chemin|auteur=Franz Kafka|éditeur=Payot et Rivages|année=2001|collection=Rivages poche, Petite bibliothèque|traducteur=Bernard Pautrat|ISBN=2-7436-0773-4|page=48}}
 
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<center>52</center>Dans le combat entre toi et le monde, seconde le monde.}}
{{réf Livre|titre=Réflexions sur le péché, la souffrance, l'espérance et le vrai chemin|auteur=Franz Kafka|éditeur=Payot et Rivages|année=2001|collection=Rivages poche, Petite bibliothèque|traducteur=Bernard Pautrat|ISBN=2-7436-0773-4|page=49}}
 
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<center>88</center>La mort est devant nous, un peu comme au mur de la salle de classe un tableau de la bataille d’Alexandre. Ce qu’il nous reste à faire, c’est, à travers nos actes dans cette vie, d’obscurcir encore le tableau ou de l’effacer tout à fait.}}
{{réf Livre|titre=Réflexions sur le péché, la souffrance, l'espérance et le vrai chemin|auteur=Franz Kafka|éditeur=Payot et Rivages|année=2001|collection=Rivages poche, Petite bibliothèque|traducteur=Bernard Pautrat|ISBN=2-7436-0773-4|page=65}}
 
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<center>109</center>(..) Il n’est pas nécessaire que tu sortes de chez toi. Reste à ta table et écoute. N’écoute même pas, attends, simplement. N’attends même pas, soit pleinement calme et seul. Le monde va s’offrir à toi pour que tu le démasques, il ne peut rien faire d’autre, il va se tordre extasié devant toi.}}
{{réf Livre|titre=Réflexions sur le péché, la souffrance, l'espérance et le vrai chemin|auteur=Franz Kafka|éditeur=Payot et Rivages|année=2001|collection=Rivages poche, Petite bibliothèque|traducteur=Bernard Pautrat|ISBN=2-7436-0773-4|page=77}}
 
== Correspondance ==