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{{citation|<poem>Mais parmi les chacals, les panthères, les lices,
([)]
Dans la ménagerie infâme de nos vices,
 
Il en est un plus laid, plus méchant, plus immonde !
Quoiqu'ilQuoiqu’il ne pousse ni grands gestes ni grands cris,
Il ferait volontiers de la terre un débris,
Et dans un bâillement avalerait le monde ;
 
C’est l’Ennui !
C'est l'Ennui !
</poem>}}
{{réfRéf Livre|titre=Les Fleurs du mal
|éditeurréférence=Les Fleurs du mal/Poulet-Malassis et de Broise
|titre de la contribution=Au Lecteur
|page=2-3
|auteur=Charles Baudelaire
|section=« Au lecteur »
|éditeur=Lemerre
|s=Les Fleurs du mal}}/1861/Au lecteur
|année=1900?|page=10
}}
|année d'origine=1857
|partie=Spleen et idéal
|s=Les Fleurs du mal}}
 
{{citation|<poem>
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{{citation|<poem>Grands bois, vous m'effrayezm’effrayez comme des cathédrales, ;
Vous hurlez comme l'orgue,l’orgue ; et dans nos cœurs maudits,
Chambres d'éterneld’éternel deuil où vibrent de vieux râles,
Répondent les échos de vos ''De profundis''.
</poem>}}
{{réfRéf Livre|titre=Les Fleurs du mal
|référence=Les Fleurs du mal/Poulet-Malassis et de Broise
|titre de la contribution=Obsession
|page=178
|auteur=Charles Baudelaire
|partie=« Spleen et idéalIdéal »
|éditeur=Lemerre
|section=LXXIX « Obsession »
|année=1900?|page=127
|s=Les Fleurs du mal}}/1861/Obsession
|année d'origine=1857
}}
|partie=Spleen et idéal
|s=Les Fleurs du mal}}
 
{{citation|<poem>Horloge ! Dieu sinistre, effrayant, impassible,
Dont le doigt nous menace et nous dit : « '' Souviens-toi !''
Les vibrantes Douleurs dans ton cœur plein d'effroi
Se planteront bientôt comme dans une cible.
([)]
''Souviens-toi'' que le temps est un joueur avide
 
Qui gagne sans tricher, à tout coup ! C'estc’est la loi.
''Souviens-toi'' que le temps est avide
([)]
Qui gagne sans tricher, à tout coup ! C'est la loi.
Tantôt sonnera l'heurel’heure où le divin Hasard,
(…)
l'augustel’auguste Vertu, ton épouse encor vierge,
Tantôt sonnera l'heure où le divin Hasard,
Où le repentirRepentir même (oh ! Lala dernière auberge ! ),
Où l'auguste Vertu, ton épouse encor vierge,
Où tout te dira : « Meurs, vieux lâche, ! il est trop tard !  »
Où le repentir même (oh ! La dernière auberge !),
Où tout te dira : « Meurs, vieux lâche, il est trop tard! »
</poem>}}
{{réfRéf Livre|titre=Les Fleurs du mal
|référence=Les Fleurs du mal/Poulet-Malassis et de Broise
|titre de la contribution=L'Horloge
|page=191-192
|auteur=Charles Baudelaire
|partie=« Spleen et idéalIdéal »
|éditeur=Lemerre
|section=LXXXV « L'Horloge »
|année=1900?|page=136-137
|s=Les Fleurs du mal}}/1861/L’Horloge
|année d'origine=1857
}}
|partie=Spleen et idéal
|s=Les Fleurs du mal}}
 
{{citation|<poem>Saint- Pierre a renié Jésus...Jésus… il a bien fait !
</poem>}}
{{réfRéf Livre|titre=Les Fleurs du mal
|référence=Les Fleurs du mal/Poulet-Malassis et de Broise
|titre de la contribution=Le Reniement de Saint-Pierre
|page=284
|auteur=Charles Baudelaire
|partie=« Révolte »
|éditeur=Lemerre
|section=CXVIII « Le Reniement de saint Pierre »
|année=1900?|page=327
|titres=Les deFleurs ladu contribution=mal/1861/Le Reniement de Saint-saint Pierre
|année d'origine=1857
}}
|partie=Révolte
|s=Les Fleurs du mal}}
 
{{citation|<poem>
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Et nous donne le cœur de marcher jusqu'au soir.
</poem>}}
{{réfRéf Livre|titre=Les Fleurs du mal
|référence=Les Fleurs du mal/Poulet-Malassis et de Broise
|titre de la contribution=La Mort des Pauvres
|page=297
|auteur=Charles Baudelaire
|partie=« La Mort »
|éditeur=Lemerre
|section=CXXII « La Mort des Pauvres »
|année=1900?|page=213
|s=Les Fleurs du mal}}/1861/La Mort des pauvres
|année d'origine=1857
}}
|partie=La Mort
|s=Les Fleurs du mal}}
 
{{citation|<poem>
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</poem>}}
{{Réf Livre
|titreréférence=Les Fleurs du mal/Poulet-Malassis et de Broise
|auteur=Charles Baudelaire
|éditeur=Poulet-Malassis et de Broise
|année=1861
|année d'origine=1857
|page=21
|partie=« Spleen et Idéal »
|section=VI « Les Phares »
|s=Les Fleurs du mal/1861/Les Phares
}}