« Ingénieur » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
Clelie Mascaret (discussion | contributions)
Aucun résumé des modifications
Aucun résumé des modifications
Ligne 4 :
{{citation|citation=La nuit pénètre dans le laboratoire sous l’aspect d’une femme nue et pâle sous un large manteau d’astrakan. Ses cheveux blonds et coupés font une lueur vaporeuse autour de son fin visage. Elle pose la main sur le front de l’ingénieur et celui-ci sent couler une mystérieuse fontaine sous la muraille de ses tempes tourmentées par les migraines.}}
{{Réf Livre|titre=La liberté ou l'amour !|auteur=[[Robert Desnos]]|éditeur=Gallimard|collection=L'Imaginaire|année=1962|année d'origine=1927|page=55|section=V. La baie de la faim|ISBN=978-2-07-027695-0}}
 
== Parlement français ==
=== Jules Simon, Annales du Sénat et du Corps législatif : Séance du 30 mai 1865 ===
{{Citation| Il y a des écoles générales et des écoles spéciales, et je parle d'abord des écoles générales tout en vous avertissant que ces deux classes d'écoles rentrent quelques fois l'une dans l'autre. Je cite à la place d'honneur l'école Turgot, dont je vous ai déjà parlé, et dont M. Pompée a été le fondateur, une école récemment créée dans la rue Trudaine à Paris par la très honorable initiative de la chambre de commerce qu'on en saurait trop louer, l'école de la Martinière à Lyon, qui est admirée tous ceux qui l'ont visitée, l'École des arts industriels et des mines de Lille, l'école industrielle de Mulhouse, l'école professionnelle de Nantes, l'École centrale de Lyon, (...) Maintenant, messieurs, il est des établissements d'une importance beaucoup plus considérable et d'une utilité aussi plus élevée. Rappelons d'abord le Conservatoire des arts et métiers, qui est hors de pair et qu'on a nommé avec raison la Sorbonne de l'ouvrier. Citons aussi les classes d'adultes fondées par l'association polytechnique et l'association philotechnique (...) Quant aux écoles spéciales, il y a d'abord celles que tout le monde connaît, les Écoles d'arts et métiers de Châlons, Aix et Angers, l'école de tissage de Mulhouse (...) Jusqu'ici, je vous ai parlé des ouvriers et des contremaîtres pour lesquels la loi ne fait rien : il me reste à vous parler des directeurs d'industrie, auxquels elle réserve toutes ses faveurs (...) École polytechnique (...) nous avons depuis plusieurs années, à côté d'elle, une école (...) dont l'existence et les progrès sont précisément une preuve de la nécessité de l'enseignement pratique, c'est l'École centrale à laquelle se rattache glorieusement le nom de M. Dumas. Vous savez, en outre, que des élèves libres sont admis à suivre, concurremment avec les élèves sortant de l'école polytechnique, les cours de l'École impériale des ponts et chaussées, et ceux de l'École des mines. Nous avons encore notre école des beaux-arts. Je citerai aussi l'école supérieure du commerce.}}
{{Réf Livre|titre=Annales du Sénat et du Corps législatif |auteur=Jules Simon|éditeur=Administration du Moniteur universel|collection=vol. 5-6|année=1865|page=76|section=Séance du 30 mai 1865|ISBN=}}
 
[[Catégorie:Métier]]