« Dante Alighieri » : différence entre les versions

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|ISBN=2-08-070725-6
}}
 
 
=== Chant deuxième ===
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}}
 
=== Chant quatorzièmeseizième ===
{{citation|citation=<poem>
Toujours autant qu’il peut, l’homme doit clore ses lèvres à ce vrai qui ressemble au mensonge ; car, sans faute aucune, il attire la honte :
Mais ici je ne puis le taire, et par les vers de cette Comédie, par mon désir que longtemps ils plaisent, je te jure, lecteur,
Qu’à travers l’air épais et sombre, je vis monter, nageant, une figure qui aurait troublé le cœur le plus ferme ;
Semblable à celui qui, ayant plongé pour dégager l’ancre retenue par un rocher ou quelque autre empêchement caché dans la mer,
Étend les bras et le corps, ramenant à soi les pieds.</poem>}}
{{Réf Livre
|auteur=Dante
|éditeur=Didier
|titre=[[w:La Divine Comédie|La Divine Comédie : L'Enfer]]
|année=1863
|année d'origine=1314
|traducteur=Félicité Robert de Lamennais
|section=chant seizième
|vers=42-45
|page=334-335
|s=Page:Dante - La Divine Comédie, traduction Lamennais volume 1, Didier, 1863.djvu/344
}}
 
=== Chant seizièmevingt-quatrième ===
{{Citation
|citation={{Tab}}« Il faut maintenant que tu chasses la paresse »,<br/>dit mon maître : « ce n'est pas assis sous la plume<br/>ni sous la couette, qu'on arrive à la gloire ;<br/>or qui consume sa vie sans elle<br/>laisse de soi, sur terre, trace pareille à celle<br/>de la fumée dans l'air, et de l'écume dans l'eau.{{BrTab}}Lève-toi donc ; vaincs cette angoisse<br/>par le courage qui gagne les batailles,<br/>s'il ne fléchit pas sous le poids du corps. [...] »
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|référence=L'Enfer (Dante)/Flammarion-Gf bilingue
|page=221
}}
 
=== Chant seizième ===
{{citation|citation=<poem>
Toujours autant qu’il peut, l’homme doit clore ses lèvres à ce vrai qui ressemble au mensonge ; car, sans faute aucune, il attire la honte :
Mais ici je ne puis le taire, et par les vers de cette Comédie, par mon désir que longtemps ils plaisent, je te jure, lecteur,
Qu’à travers l’air épais et sombre, je vis monter, nageant, une figure qui aurait troublé le cœur le plus ferme ;
Semblable à celui qui, ayant plongé pour dégager l’ancre retenue par un rocher ou quelque autre empêchement caché dans la mer,
Étend les bras et le corps, ramenant à soi les pieds.</poem>}}
{{Réf Livre
|auteur=Dante
|éditeur=Didier
|titre=[[w:La Divine Comédie|La Divine Comédie : L'Enfer]]
|année=1863
|année d'origine=1314
|traducteur=Félicité Robert de Lamennais
|section=chant seizième
|vers=42-45
|page=334-335
|s=Page:Dante - La Divine Comédie, traduction Lamennais volume 1, Didier, 1863.djvu/344
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