« Avortement » : différence entre les versions
Contenu supprimé Contenu ajouté
sources trouvées |
mise en forme + retrait sourçage insuffisant (au minimum date précise, lien vers discours, numéro de page) -> cd WQ:Charte |
||
Ligne 1 :
L''''{{w|avortement}}''' se définit comme l'interruption avant son terme du processus de gestation, c'est-à-dire du développement qui commence à la conception par la fécondation d'un ovule par un spermatozoïde formant ainsi un œuf, qui se poursuit par la croissance de l'embryon, puis du fœtus, et qui s'achève normalement à terme par la naissance d'un nouvel individu de l'espèce.
==
=== Georges Carlin ===
{{citation|Avez-vous remarqué que la plupart des femmes qui sont contre l'avortement sont aussi les femmes que de toutes façons vous ne voudriez pas baiser ? Il y a un équilibre dans la nature.}}
Ligne 23 ⟶ 10 :
|date=août 1981
|label=Atlantic
|traducteur=
}}
=== [[Pierre Desproges]] ===
{{citation|citation=On ne dit plus un avortement mais une interruption volontaire de grossesse, ceci afin de ménager l'amour-propre du
{{Réf Livre|titre=Fonds de tiroir|auteur=Pierre Desproges|éditeur=Points|année=2008|page=82|chapitre=|ISBN=978-2757808085}}
Ligne 39 ⟶ 27 :
|titre=Song Groove (A/K/A Abortion Papers)
|auteur=Michael Jackson
|interprète=
|album=
|date=
|label=
}}
=== [[Téléphone (groupe)|Téléphone]] ===
{{citation|citation=<poem>
Tuer l'enfant, tu es l'enfant
Ligne 59 ⟶ 48 :
|label=EMI
}}
=== Tracy Chapman ===
{{citation|citation=<poem>
Ligne 85 ⟶ 75 :
{{Réf Chanson
|titre=Baby can i hold you tonight
|auteur=
|interprète=Tracy Chapman
|album=
|date=1988
|label=Elektra
}}
=== Cali ===
{{citation|citation=<poem>
Ligne 103 ⟶ 94 :
|titre=L'avortement
|auteur=Cali
|interprète=
|album=
|date=
|label=
}}
== Philosophie ==
=== Stanley Cavell ===
« Il résulte de (nos) considérations que non seulement on ne peut pas, mais qu’on ne doit pas trouver de conclusion au débat sur le statut de l’embryon humain. L’avortement volontaire est, comparé à sa criminalisation, un moindre mal ; mais il n’est pas pour autant une bonne chose. Plus on juge effroyable la chose, plus on devrait juger effroyable l’accusation qu’elle prononce sur la société. Elle est la marque d’un échec social, et peu différente de ce point de vue de l’existence des prisons. »
{{Réf Livre|titre=Les Voix de la Raison|auteur=Stanley Cavell|éditeur=
[[Catégorie:Reproduction]]
[[Catégorie:Éthique]]
|