« Imre Kertész » : différence entre les versions

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{{Réf Livre|titre=Journal de galère|auteur=Imre Kertész|éditeur=Actes Sud|année=2010|page=104}}
 
{{Citation|Toute œuvre porte en elle l’empreinte de son dieu, toute peuvreoeuvre d’art porte celle de son auteur ; la transcendance d’un roman, par exemple, c’est l’auteur qui se cache derrière et qui – si c’est un véritable écrivain – reste mystérieux, insaisissable et cependant omniprésent comme le fameux ''Gott'' qui a soi-disant créé notre monde réel. Par conséquent, éliminer cette transcendance du roman est une erreur aussi grave qu’éliminer Dieu du monde ; bien qu’il soit dernièrement de bon ton de commettre ces deux erreurs. Voilà pourquoi tant le roman que la vie sont ennuyeux.}}
{{Réf Livre|titre=Journal de galère|auteur=Imre Kertész|éditeur=Actes Sud|année=2010|page=106}}
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{{Réf Livre|titre=Journal de galère|auteur=Imre Kertész|éditeur=Actes Sud|année=2010|page=252}}
 
{{Citation|'''La question n’est pas de savoir si Dieu existe ou non. L’homme doit vivre comme s’Il existait.'''}}
{{Réf Livre|titre=Journal de galère|auteur=Imre Kertész|éditeur=Actes Sud|année=2010|page=256}}
 
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{{Réf Livre|titre=Journal de galère|auteur=Imre Kertész|éditeur=Actes Sud|année=2010|page=261}}
 
{{Citation|'''Dieu est Auschwitz, mais aussi celui qui m’a fait sortir d’Auschwitz. Et qui m’a engagé, voire obligé à rendre compte de tout cela, parce qu’il voulait entendre et apprendre ce qu’il avait fait.'''}}
{{Réf Livre|titre=Journal de galère|auteur=Imre Kertész|éditeur=Actes Sud|année=2010|page=264}}