« François Mitterrand » : différence entre les versions
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====''Mémoires interrompus''====
{{citation|citation=Je ne me sentais pas né pour vivre citoyen d’un peuple humilié. L’Histoire de la France me possédait, j’aimais ses héros, ses fastes, et les grandes idées venues
{{Réf Livre
|référence=Mémoires interrompus/Éditions Odile Jacob
|chapitre=1 « Le temps du stalag, le temps des évasions »
|page=22-23}}
{{citation|citation=Quand on est dans l’action, il n’y a pas d’immense déception !}}
{{Réf Livre
|référence=Mémoires interrompus/Éditions Odile Jacob
|chapitre=1 « Le temps du stalag, le temps des évasions »
|page=47}}
{{citation|citation=Ce qui prête à la Seconde Guerre mondiale son caractère abominable, c’est la perversion née — très au-delà des conflits nationaux, que j'appellerai, faute de mieux, traditionnels — de l’idéologie nazie, du racisme érigé en doctrine : l’humanité découpée en race supérieure et en races inférieures, avec, tout en bas de l’échelle, les « sous-hommes », tout étant permis à la race supérieure, chargée par je ne sais quel décret de je ne sais quel dieu de conduire les affaires du monde, de distinguer le bien et le mal, de refabriquer les individus par la médecine, la biologie et la rééducation mentale, selon des critères aberrants. De ce point de vue, Nuit et Brouillard, et le sort réservé aux déportés dans les camps de la mort représente un sommet d’iniquité et de barbarie.}}
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