« François Mitterrand » : différence entre les versions
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{{Réf Livre
|référence=Mémoires interrompus/Éditions Odile Jacob
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|chapitre=
|page=153}}
{{citation|citation=L’épuration était semblable à toutes les périodes qui concluent une guerre civile. Elle était faite, et souvent mal faite. Il y a eu les fusillés qui s’imposaient
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|référence=Mémoires interrompus/Éditions Odile Jacob
|chapitre=5 « La Libération »
|page=161}}
{{citation|citation=La bourgeoisie a toujours choisi son intérêt
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|référence=Mémoires interrompus/Éditions Odile Jacob
|chapitre=5 « La Libération »
|page=168}}
{{citation|citation=Après son départ, de mauvais gré, en 1946, il
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|référence=Mémoires interrompus/Éditions Odile Jacob
|chapitre=6 « Ministre sous la IV{{e}} République »
|page=173}}
{{citation|citation=Le congrès de La Haye
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|référence=Mémoires interrompus/Éditions Odile Jacob
|chapitre=6 « Ministre sous la IV{{e}} République »
|page=187}}
{{citation|citation=En effet, le PSA [Parti socialiste autonome, futur PSU] me fit grise mine
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|référence=Mémoires interrompus/Éditions Odile Jacob
|chapitre=7 « Le temps de l'opposition »
|page=216-217}}
{{citation|citation=La droite défend des intérêts si puissants qu’elle n’hésite pas à éliminer ceux qui se trouvent sur son chemin, ceux qui entravent la marche de ses affaires. […] Et la haine est d’autant plus grande si celui qui gêne vient de chez elle. […] Pour cette bourgeoisie de droite, il est presque normal qu’un ouvrier soit communiste, un employé socialiste, mais quand l’un des siens lui échappe, ça ne se pardonne pas.}}
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|chapitre=7 « Le temps de l'opposition »
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{{citation|citation=Je crois pour demain comme hier à la victoire de la gauche
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|référence=Mémoires interrompus/Éditions Odile Jacob
|chapitre=7 « Le temps de l'opposition »
|page=246}}
====''De l’Allemagne, de la France''====
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