« Gabriel García Márquez » : différence entre les versions

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==''[[w:Cent ans de solitude|Cent ans de solitude]]''==
{{citation|citation=Bien des années plus tard, face au peloton d'exécution, le colonel Aureliano Buendia devait se rappeler ce lointain après-midi au cours duquel son père l'avait emmené découvrir la glace.|original=Muchos años después, frente al pelotón de fusilamiento, el coronel Aureliano Buendía había de recordar aquella tarde remota en que su padre lo llevó a conocer el hielo.|langue=es|précisions=Incipit du roman}}
{{Réf Livre|titre=Cent ans de solitude|auteur=Gabriel Garcia Marquez|éditeur=Livre de poche|année=1968|collection=|page=9|chapitre=1|traducteur=Claude et Carmen Durand|année d'origine=1968}}
 
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{{Réf Livre|titre=Cent ans de solitude|auteur=Gabriel Garcia Marquez|éditeur=Seuil|année=1995|collection=Points|page=94|chapitre=5|traducteur=Claude et Carmen Durand|année d'origine=1968}}
 
{{citation|citation=Mais avant d’arriver au vers final, il avait déjà compris qu’il ne sortirait jamais de cette chambre, car il était dit que la cité des miroirs (ou des mirages) serait rasée par le vent et bannie de la mémoire des hommes à l’instant où Aureliano Babilonia achèverait de déchiffrer les parchemins, et que tout ce qui y était écrit demeurait depuis toujours et resterait à jamais irrépétible, car aux lignées condamnées à cent ans de solitude, il n’était pas donné sur terre de seconde chance. |original=|langue=|précisions=Explicit du roman}}
{{Réf Livre|titre=Cent ans de solitude|auteur=Gabriel Garcia Marquez|éditeur=Seuil|année=1995|collection=Points|page=460|chapitre=|traducteur=Claude et Carmen Durand|année d'origine=1968}}